Les femmes dans les lieux de privation de liberté

j'ai le plaisir au nom de la section du fanatisme je suis le président de vous attaquer cette conférence consacrée oui trois heures pour parler d'elle à leurs souffrances et leurs espoirs et des droits les plus élémentaires pour nous permettre d'y réfléchir nous avons un groupe de personnalités engagées dans la privation de liberté dresse au nom de tous je les remercie d'être là nous couper cette visioconférence est pas encore organisé avec la section de la rose le bal de bière je vais donner la parole à leur président jean bouin qui va vous dire quelques rounds la production de sexy oui n'a coûté merci nora bonjour à tous ceux qui se sont déjà connectés juste un petit mot pour vous situer un peu l'action de la ldh donc comme vous le savez la ldh étaient constitués en une formule du souk à damas 18 au moment de l' affaire dreyfus en se donnant pour but d'être aux côtés des victimes d'injustices de déni de droit dont les causes sont d'ordre institutionnel et politique notre boussole pour en juger c'est la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 inspirée de celle de 1789 cinq individus et titulaires de ces droits mais il ne peut réellement les exercer que si la société de se se donne les moyens institutionnels et politiques de les rendre effectifs pour tous ceux que l'on appelle l'égalité des droits alors cette dernière n'est pas défendue par tout le monde l'extrême droite la combat ou non de les hiérarchiser ation des soi-disant traces d origine ou des religions c'est pourquoi ce qui est essentiel à nos yeux c'est de mettre en évidence le fonctionnement réel de la société et pour cela les débats et moment de rêve actions sont nécessaires pour qu avec la boussole des droits de l'homme pendant et celle des failles pour mieux les combattre c'est ainsi que la ldh participent aux débats qui traversent le mouvement féministe dans sa lutte pour l'égalité des droits entre les femmes et les hommes nous évoquerons aussi aujourd'hui donc le sort fait aux femmes privées de liberté dans les prisons dans les centres de rétention administrative et dans les hôpitaux psychiatriques dans ces lieux les femmes sont en minorité pénalisés par leur faiblesse numérique elles subissent des discriminations spécifiques lors mieux connaissent cette réalité pour mieux en compte conscience c'est une condition essentielle pour agir à sa transformation ce qui je viens de le dire et le combat de la ligue des droits de l'homme voilà alors je veux donner maintenant la parole à al simon qui est maître de conférences à l'institut de recherches juridiques de la sorbonne est aussi membre de la ligue des droits de l'homme qui sera la modératrice de nos débats et qui va vous présenter les personnalités qui vont intervenir au cours de cette conférence sera tous merci beaucoup à jean pour que cette petite présentation donc un minuscule mots mots d'introduction avant tout je souhaite remercier jean fois l'ensemble des organisateurs de cette journée et la ligue des droits de l'homme de leur invitation je suis très heureuse de pouvoir participer à ces débats qui porte sur une thématique si importante moi je m'intéresse depuis le début de mon travail de recherches doctorales à l'accession aux questions pénitentiaires en général et notamment à la possibilité pour les pour les autorités publiques d'être tenus pour responsables des attaques qui pourraient être subis par les personnes détenues et il est vrai que dans ce travail j'ai eu la pleine conscience de ne pas donner aux femmes la place qu'elle méritait aussi parce que dans un travail de recherche on doit faire des choix et que j'ai fait celui de m'intéresser aux questions les plus communes et c'est vrai que les femmes ne sont pas la majorité des personnes incarcérées en france donc il est vrai aujourd'hui que de nombreux travaux de recherche qui porte sur l'incarcération fondé des femmes d oublier et le titre raisonnée pour moi à cet égard avec avec mes travaux notamment j'ai tout à fait conscience cependant que du fait que la protection des femmes détenues en général et de leur intégrité en particulier soulève des questions qui sont spécifiques et qui mérite une attention particulière est actuellement dans le cadre d'un projet de recherche que je coordonne sur la question des violences gynécologiques et obstétricales on s'intéresse à la question des personnes incarcérées parce que les questions de prise en charge médicale sont vraiment spécifique pour les femmes alors je vais surtout pas monopoliser la parole parce que ces échanges vont être introduits par par maître henri leclerc qui est avocat et président d'honneur de la ligue des droits de l'homme qui est d'ailleurs presque superflu à de présenter je m'aperçois encore te g j'ai su que je devais introduire ce débat je me suis aperçu qu'on fond je n'avais jamais vraiment mener de réflexion sur ma particularité des vagues en détention alors je vais vous en parler je vais essayer de poser un certain nombre de problèmes dans mon introduction pour vous dire ça ça pourrait être curieux mais est la première raison pour laquelle c'est curieux c'est que là je vous avais présenté que marca je suis marocain amer puisque j'ai pris ma retraite ya trois mois le 1er janvier après 65 ans d'exercice professionnel mais dans ses 65 ans j'ai défendu d'une centaine de personnes j'ai défendu des femmes aussi mais je me suis aperçu que finalement le nombre de femmes que j'avais défendu devait être à peu près en proportion avec le nombre de femmes qui sont actuellement présents donc il ya un véritable en mer parce que quand on commence une réflexion sur les femmes en prison il faut quand même oser ce premier problème py qui nous interpelle il ya actuellement dans 3-4 ça change ça varie mais il ya toujours eu entre 3 et 4 % de personnes en prison depuis les 65 rouge de l'avocat ça pose un problème quand est ce qu'on va pas demander la parité et on va pas se plaindre de cette commune infériorité du chiffre de femmes en prison mais ça pose un véritable problème est avant même de que nous essayons de voir le problème de leurs droits je crois qu'il faut quand même qu'on s'interroge sur un problème qui maltraitait qui est pas traitée sur lesquels les analyses sont très souvent saute j'ai essayé l'attendait de trois derniers jours de voir ce que je trouvais sur internet dans les livres sur ma prison et j'en ai quand même beaucoup ya pas beaucoup de réflexion sur ce sujet en fait pourquoi il s'y plaît clame en prison si peu quand même ça va faire de toi mais pas le chiffre exact mais ça fait nous envions de ça pour faire 30 3 et 4 x 3 3 il de 3,3 dans ma qui choisissent à tour aussi d'autres cas je crois qu'à 95 mais c'est vraiment très rare pourquoi y at il si peu de façon plus est ce que parce que les femmes seraient moins sanctionnée par les blancs mon expérience personnelle montre que sur tout délit et galaga crime égale les peines se ressemblent plus tôt alors il peut y avoir effectivement des fois des mouvements d'humeur les mouvements misogyne ou moins versement des mouvements de pitié vis-à-vis des femmes deux situations particulières nombre de la console est beaucoup plus faible ça pose un problème et sur ce sujet les réflexions des criminels en compte au théâtre et saute très longtemps on a dit au foncier moins de femmes détenues c'est parce que l on moins d'activités professionnelles ou que leur activité professionnelle les enfermer chez elle c'est à dire qu'elle s'occupe des des choses de la maison et et 15 ans peu de rapport avec la société c'était vrai peut-être ya dix siècles aujourd'hui on peut pas dire ça même si effectivement que le combat féministe le montrent il faut se préoccuper encore de la faible place pour les femmes dans l'est dans les lieux de décision et alors à ce moment est venu notre théorique j'ai lu à 2 à plusieurs reprises c'est en fait parce que la délinquance est temps qu'une quinzaine en prison étant essentiellement une délinquance de violence les fabre - testostérone et que donc il est évident que les femmes seraient moins bien noté que au fond ça serait à ce moment là une véritable défiance de genre une véritable une véritable séparation anthropologique lien il ya quelque chose qui fait que les hommes ferait sur les délinquants et pas les femmes en raison de deux particularités physiques je ne pense qu'à pas beaucoup de gens qui soutiennent vraiment sanguin alors pourquoi les femmes sont-elles mois des vacances ça c'est un sujet auquel il faut réfléchir nous ne discutons pas sur la faiblesse des châtiments sur non les fins il se trouve qu'il y à une délinquance féminine qui est plus faible et que je souhaite moi personnellement depuis longtemps que les crimes in a box être sèche réellement à discuter de ce problème est que les praticiens des connaissances mois j'ai depuis depuis la première femme que j'ai vu dans une prison ça va être en 55 56 ans à l'époque aujourd'hui il reste peu de prison de femmes enfants seraient ils restent en fait il y en a une grande qui est la prison de qu'ils ont des maisons centrales de rennes qui est une prison très importante où il a glané les lier où il a un certain nombre de d'actions son frère qui les dernières que j'ai eus nous pas été mécontent du moins des actions de formation des possibilités qu'elles ont eues passer des examens c'était peut-être des hasards je ne peux pas faire ça avec le peu de femmes que j'ai eu raison de deux clientes en revanche il y aller les maisons d'arrêt vient d'abord d'aimer les femmes qui sont dans des dents décès dans des crises on est dans un quartier spécial évidemment pas si maintenant vernet et là il y en a partout et il avant quelques fois hier très peu et femmes mais là ça dépend quand j'étais jeune avocat jusque je sais pleut pas la date exacte va vérifier mais selon elle vers 75 bagdad on a supprimé la prison de la roquette la prison de la roquette à paris c'était quelque chose d'assez terrible la boulette et les femmes parce que c'était une prison très ancienne qui datait du début du 19e qui était on les murs étaient clients qui avaient toutes une histoire qui était des plus prison de femmes avaient un moment avant les grandes prisons femmes de paris c'était saint lazare et là bon s'étaient repliées sur la petite roquette qui a été démolie a créé dans les années 75 vous savez dans la rue qui m'avait renard une roquette qui va vers le haut niveau encore pour ceux qui passent devant l'endroit on l'avait monté la guillotine merki six autres spéciales mais les prises enfin c'est après la fermeture de la prison saint lazare je passais avant caire je sais pas quel moment la prison de la petite roquette et les les travaux les des surveillants étaient des des bonnes soeurs qui avaient une grande cormette je ne sais pas quelle était de l'ordre exact mais qui était férocement c'est à dire que j'ai rarement vu lors des crises ondam traiter les femmes les traités des détenus avec une telle violence que les femmes étaient traitées à la roquette dans des conditions d'insalubrité qui était remarqué déjà à l'époque ce qui alors ce sac est fermé mais jugé que j'ai connu dans cette prison qui avait des allures lieu de forteresse de cazères de caverne aux endroits alors maintenant à paris vous avoir une prison qui sur le plan de gm est comparable au nôtre celle là la messe de marennes fleury mérogis où il ya une division dames complètement dérapé dans son bâtiment spécial qui est alors prenez points c'est vrai que dans ce problème de la détention femmes les plus j'ai quand même pu toujours lorsque j'ai parlé les femmes dans les centres de détention jld mais pas des d'ailleurs avec elle surtout quand elle s'était encore maison d'arrêt il ya quelque chose qui montre qu'effectivement il ya une spécificité même sensation d'exclusion du monde qui est sans doute plus plus forte en ce qui concerne les femmes qu'en ce qui concerne des mouvements quand c'est un marine en prison je dirais compte tenu de ce qu'est l'origine sociale en général de ceux qui sont et qui sont dans les lieux où la prison est connu une bonne année les délinquants qui prennent des pertes modérées pour les actes de cet hiver au fond du look si on trouve quelques femmes mais pas beaucoup et il faut bien constater que dans les milieux de dans le secret comme un nombre important de femmes on épuise ont deux femmes de détenus c'est à dire mais les infractions d'indications sur les stupéfiants quand on examine cette violente constate que les femmes dans cette délinquance joue un rôle la domination masculine et est considérable mais qu'elle joue un rôle dès le petit matin le petit corps pour porter la musique payante alors il ya un problème qui m'a particulièrement s'était à plusieurs reprises et je me souviens surtout d'un d'une queue dont je peux parler parce que je raconte est déjà connu c'est le problème des débuts des enfants avec eux quand les femmes sont en prison quand on a un bébé soit qu'elles accouchent quand elles sont à la prison alors là aussi il ya des problèmes sur les conditions même de l'accouchement peut-être quelqu'un dans le rat mais il ya surtout cette idée que les femmes ont droit de garder leur bébé jusqu'à 18 mois et a vraiment arraché j'ai connu des situations des rues de femme qui avait accouché à la prison ou ou qui étaient arrivés avec des bébés est très active dans le gens voient plusieurs normes c'est terrible parce que on bouge aujourd'hui il ya la maternité de de fleury mérogis qui est organisée bon sang ça c'était dans des situations où s'étaient pas organisé on les a couchés dans des conditions qui étaient assez pénible à ces terribles devenir sage-femme devront chercher culte quelqu'un qui savait faire le sage femme ou la prison c'était pas terrible et après ce coup il ya des cette menace à 18 mois donc jusqu'à 18 mois à fleury mérogis il ya une pouponnière organisé avec hélas une pas forcément et il avait une prison où il ya cinq femmes comme en avait une qui est enceinte évidemment ça demain aujourd'hui je pense quand même on envoie fleury mérogis je ne sais pas et c'était terrible parce qu'il y avait quelque chose qui était de l'homme qui est très caractéristique de la situation de rigueur sont les femmes sont en général dans 50 isolement c'est à dire qu'ils sont un bébé mais le père pour quelquefois le pen à nos amis maison d'arrêt des hommes est là la question est de réussir à organiser des visites et et tout avocat c'est l'extrême difficulté dans laquelle on se trouve quand il s'agit d'obtenir que des gens qui vivaient ensemble puissent visiter mutuellement dont ils sont en prison mais vous avez le problème du bébé l'enfant en vie jusqu'à 18 mois est grand quand quand elle accoucher en prison elle a vécu et offre dans certaines prisons de formation doivent en une situation totalement juge anne est le seul but mais dans la cellule l'homme était bon et un 18 mois c'était impératif et c'est toujours impératif c'est à dire qu'on retire le bébé de la prison anthian la famille des grands parents rarement le père aimait mes grands parents très souvent même mais ensemble mais à l'assistance à se dire qu'avant c'est à dire que l on ne se préoccupe pas de ce problème qui est absolument dramatique c'est de cette coupure qui est faite d'un seul coup on retire un bébé le 18 - c'est pas rien 18 mois nos meubles le bébé est arrivé à un seuil de connaissance qui est quand même important mais ils sont sans lien avec sa mère est très étroite bah liens de la mer avec le bébé dont nous avons on a eu un problème qui est un problème tout à fait spécifique et qui à mon avis est mal résolu qui n'est pas toujours aisé d'une façon très humaine surtout quand on arrache le btk famille ça c'est le premier point le deuxième point qui moi m'a du jour 1 vraiment quand j'ai vu les abords quand on a des femmes très jeunes ça va encore nous pensons pas qu'il y ait au contingent de femmes assez importante qui était à la petite rockette pendant les événements et non les au début des années 70 ce moment du mouvement révolutionnaire à ce titre qu'apple y avait comme une communauté qui finissaient par s'organise et un peu le 2 mai les femmes surtout quelles que soient les femmes mon bébé nous voulons pas c'est la rupture des relations familiales il est extrêmement curieux et ça c'est sans doute quelque chose qui qui tient aux un aréna au fond des rapports entre hommes et femmes dans notre société c'est que quand on est un homme est en prison la visite de sa femme c'est la première a dit via alors souvent les parents quelquefois les bars entre les conflits entre les parents mais en général il est qu'il est rare que une femme abandonne son mari emprisonné durant ses parts égales en revanche les femmes qui sont en prison les sommes versées aux clubs aux couleurs c'est à dire que lorsque la femme est arrêtée si l'homme de l'éparchie problèmes les plus divers a plus rien c'est à dire que la rupture des liens familiaux se fait mon oncle 8 ya six restent les liens familiaux avec la mère ou le père en général la chaux pas vraiment d'expérience la cda faire ce que j'ai connu les difficultés que j'ai connues et les femmes se retrouve très isolée en plus c'est le deuxième problème alors il y en a beaucoup d'autres dont on opposera tout honneur et maisons qui ont étudié laquelle sont plus prêts que moi mais moi je pars demain alors bien entendu si on prend le nombre des femmes considérable on peut tenir le fait qu'il ya aujourd'hui un certain nombre d'hommes qui sont en prison pour des violences sexuelles et des viols et des agressions sexuelles donc c'est vrai que ce container quelques femmes moi je n'en ai pas connu mais peut-être quelques femmes qui sont complices d'hommes non c'est cadencé à faire mais moi je n'ai pas connu maintenant qu'il ya ça mais il ya surtout des femmes ont très souvent aujourd'hui ce sont les femmes qui sont des bases de faire alors il ya aussi quelques femmes qui sont liées dans des affaires financières qui ont fait des escroqueries interarmées emploi theule comme pour les internes à la grande majorité des femmes en prison sont tombés pour des problèmes ils sont des problèmes classiques de la pauvreté et aider des trafics de stupéfiants choses et ça bon elles sont mal isolés dans des lieux où est-ce qu'elles sont plus mal traités que les hommes je ne sors je ne m'en suis pas sûr je pense que ceux qui parleront après moi pourrons peut être l'année des aspects mais en tout cas l'impression que moi je vous ai dit je pense de mon expérience parce que j'ai eu l'envié l'impression que j'ai eue chaque fois que j'ai une femme que je défendais c'est la rapidité de son isolement et ce jeune je dis ça parce que et je parle encore nahd celle que je voyais le plus sont celles qui sont moins maison d'arrêt qui était encore en instruction mais quand je rester en contact avec elle dans ce cas un cd en exécution peine je m'aperçoive est toujours que l c'était dans une très grande solitude c'est à dire que les autant les hommes sont en général suivi soit par leur amenant des femmes me paraissent minces unis et alors bon la question le traitement des femmes en détention dépend beaucoup des grisons et parce que dans l'éclatement je crois que une quinzaine de centres amendant nova c'est celle soulignant si on retire les femmes de rennes et celle de fleury merogis sont noirs ebay et qu'on refasse la moyenne doit arriver un des agents c'est pas mal mais on doit arriver à des chiffres assez fait ces femmes en prison sont très intéressés les formations pour les femmes ne sont pas extraordinaires et là aussi on pourrait penser effectivement qu étant donné le faible nombre de femmes en prison la tension serait d'autant plus grande et qu'au contraire on pourrait pourrait être pour moi pour une fois mieux traités que les uns et ben finalement je crois que ce n'est pas le cas je crois que là aussi une certaine division la société ce fait est que le rapport avec une femme emprisonnée ou qu'elle soit n'est pas le même que rapport dans les glaces et là je suis en train de penser à ça contre été très maltraité en prison c'est à dire que traiter avec mépris dans des conditions très difficiles alors je crois qu'il est très important effectivement plus comment on ne se disent pas mais enfin ces essais de 1500 personnes c'est c'est peu et donc au pré tout autre chose à faire en ce qui concerne les grisons ont cerné le travail ce que vont faire des ailles les autres en ce qui concerne la situation dramatique des prisons avec naturellement jamais on emprisonne et autant de personnes en un temps si court à dire qu'on est en train de rattraper les grisons le chiffre qu'était le chiffre avant le premier confinement là des choses vraiment remarqué je plante moi je le dis publiquement parce que j'étais très dur avec elle a publiquement madame du groupe et sur le plan de ses propos pas été extraordinaire mais dont les actifs se réclament nb a été assez forte puisque il ya treize mille personnes à peu près une monnaie qui sont sortis l'individu et les chinois est actuellement ces chiffres sont en voie de réparation alors je ne sais pas si ça concerne spécifiquement je sais pas si le nombre de femmes on demande dans la même proportion mais ça doit être à peu près la même chose donc il ya un problème général des prisons qui est absolument essentiel mais à l'intérieur du problème des prisons est effectivement le problème de 7000 km alors sur ça il faut effectivement agir parce que finalement un a comme ailleurs la façon dont les femmes sont traitées fait qu' elles sont peut-être plus maltraitées klein sans doute le maintien en tout cas c'est l'impression qu'un avocat qui avait vendu 65 ans même si jean de parents ce n'est pas beaucoup safran fait pas mal et ben franchement je crois qu'il est important de faire une réflexion sur la détention et que cette réflexion ne concerne pas seulement le problème des femmes en prison mais les femmes qui sont dans un lieu privé d'une privation de liberté la façon dont elles sont traitées il n'y a pas tellement de raison pour que dans ces lieux de privation de liberté ne sous-humanité parfois la division générale de la société et le traitement habituel l'état ne se reproduise pas donc je crois qu'il est essentiel de faire aujourd'hui un travail sur le problème spécifique des femmes en usant et donc moi je me suis contenté d'ouvrir le débat et d'écouté maintenant celui ci