c'est une première entre le Kenya et l'Allemagne un accord migratoire signé par le président Kenan William Rutau et le chancelier allemand Olaf Scholz objectif pour Berlin juguler la pénurie de main d'œuvre qualifié pour Nairobi l'accord pourrait participer à l'amélioration du niveau de formation des kenanss une partie de l'accord que nous avons conclu dans le cadre de ce partenariat et de jumeler et de fournir des mécanismes pour garantir que les qualifications des institutions au Ken reflète les qualifications des institutions en Allemagne afin de faciliter le transfert des compétences et de la main d'œuvre sur le marché du travail l'accord prévoit la reprise par le Kenya des demandeurs d'asile déboutés par l'Allemagne dans les rues de Nairobi après la signature les réactions sont mitigées nous devons améliorer notre marché du travail avant d'aller dans d'autres pays aucune chance que nous éduquions notre génération et que nous finissions par devenir des aides ménagères dans les pays étrangers c'est donc une bonne chose si l'emploi cré est qualifié mais s'il ne l'est pas je ne pense pas que ce soit une bonne chose au Kenya la question du chômage des jeunes est une préoccupation centrale selon la Fédération des employeurs Kean 67 % des 15 34 ans seraiit sans emploi cela aidera les k s'il cré des emplois parce que je pense que c'est pour cela g ple les G pleurent à propos des emplois et c'est pour cela qu'il y a tant de GRV pour cet économiste k l'accord migratoire signé avec l'Allemagne doit être accompagné de mesures fortes dans le secteur de l'éducation un investissement clair doit être stipulé et visible en terme de production de la formation dans nos lycées nos écoles primaires et nos universités sinon si nous laissons cette route étroite aussi chati elle est aujourd'hui le Kenya aura un grand défi à relever une fois que nous aurons exporté quelques Kenyans qualifiés qui sont déjà sur le marché du travail la signature de l'accord intervient dans un contexte tendu au Kenya l'été a été marqué par des manifestations meurtrières contre des mesures d'austérité annoncé par le gouvernement du président William Ruto