il a la confiance du président de la République mais Michel Barnier aura-t-il celle de l'Assemblée dès son arrivée dans cet hémicycle qu'il connaît bien il est menacé de censure par les oppositions sur différents dossiers et le premier très urgent c'est celui du budget pour tenir les délais il lui reste un peu plus de 3 semaines pour l'élaborer et le présenter et dans une assemblée plus fragmentée que jamais le gouvernement devra donner des gages à tout le monde s'il ne veut pas trop vite tomber il peut y avoir des éléments qui sont introduits à des seins de donner un petit peu miel aux différentes composantes de l'Assemblée nationale notamment au rassemblement national d'un côté et à LR de l'autre qui vont être les deux composantes qui devraient ne pas faire tomber ce gouvernement le problème évidemment c'est que on a un budget qui est sous contrainte contrainte parce que il faut faire 25 milliards d'économies à la demande de la Commission européenne autre chantier qui s'impose à lui celui de la proportionnelle pour les prochaines législatives alors qu'une nouvelle dissolution pourrait intervenir dans un an quasiment tous les partis veulent la mettre en place en particulier le RN qui en a fait l'une des conditions pour ne pas censurer si globalement aucune de ces mesures notamment l' propoportionnelle les mesures sur le pouvoir d'achat qu'on porte les mesures sur l'immigration ou sur sur la sécurité sont reprises il y aura une censure c'est certain enfin il y a aussi le dossier des retraites lui qui militait pour un âge légal à 65 ans se retrouve face au RN et à la gauche qui réclame l'abrogation de la réforme d'Emmanuel Macron des partis qui menacent de censure et des syndicats qui préviennent qu'ils redescendront dans la rue nous voulons que Michel Barnier abroge la réforme des retraites 6 Premier ministre ne l'abroche pas et bien nous appelons les salariés à se mobiliser le 1er octobre à faire grève à se mobiliser à être le plus nombreux et nombreuses possibl sous la pression de la rue et des oppositions les marges de manœuvre de Michel Barnier s'annoncent dors et déjà très limité s'il ne veut pas devenir le premier ministre le plus éphémère de la 5e République