le moment le plus émouvant c'est mon premier titre de champion du monde en Corée en 2017 parce que je savais que c'était le début de quelque chose [Musique] d'immense c'était pendant les Jeux de Tokyo 2020 justement j'étais très mal embarqué en finale et j'ai su trouver les ressources pour inverser la [Musique] tendance ça me fait du bien à ma tête et ça me permeti aussi de m'épanouir et d'exister aussi autrement que comme joueur de badminton pouvoir jouer au golf tranquillement sans réel objectif de haut niveau juste en prenant du plaisir et en se détendant euh bah c'est forcément très cool pour moi les échecs en fait ça m'aide énormément dans la réflexion du badminton parce qu'au badminton on pense souvent au coup d'après donc les échecs également échapper au devoirs surtout le dimanche soir enfin le dimanche tout court parce que j'allais jouer au foot au bout de la rue et que ben franchement j'étais libéré des devoirs mais quand venait le moment de vérifier mon sac et que rien n'était fait là là je devais passer une petite demi-heure à à rattraper ce que j'avais [Musique] manqué je dirais mon entraîneur de mes débuts Benoît Larcher parce que il a il m'a lancé en fait dans le Para badminton qui se développait tout juste qui commençait tout tout juste et il m'a tendu la main à ce moment-là et je pense qu'aujourd'hui le chemin parcouru est en grande partie aussi grâce à lui si j'avais un conseil à donner à au Lucas d'avant c'est vraiment de croire en ses rêves et de croire en ses objectifs parce que il y a aucune limite et faut y aller à fond [Musique]