nous étions des proies Corine touset évoque les agressions dont elle a été victime au début de sa carrière Corine tousé a accordé une interview au magazine nous deux paru en kiosque ce lundi 17 juin la comédienne a indiqué avoir été agressée et harcelée au début de sa carrière dans les années 1980 c'est dans les années 1980 que Corine tousé s'est fait connaître du grand public en tournant dans sa première série télévisé Marianne une étoile pour Napoléon par la suite elle a enchaîné les téléfilms et les feuilleton avant d'incarner le lieutenant Isabelle Florent dans Une femme d'honneur entre 1996 et 2007 une jolie carrière à laquelle elle ne semblait pas prédestinée comme elle l'avait confié il y a quelques jours dans une interview pour Téléstar j'étais introverti rondelette mal dans ma peau dans ce même entretien elle avait indiqué avoir fait l'objet de comportement très déplacé de la part de certains hommes au début de sa vie professionnelle tout ce qu'on peut imaginer qui puisse arriver est arrivé on m'a coincé j'ai refusé des propositions de travail quand on me demandait des faveurs en échange c'était une époque qui j'espère est révolue avait-elle avoué Corine tousé a subi des agressions et a été harcelée interrogé par le magazine nous deux la maman de Jan Sierra en a dit plus sur ses comportements problématiques je fais partie de la Génération la plus exposée à ces problèmes a-t-elle souligné avant de renouveler son admiration pour Judith godrch qui a des fait des révélations glaçantes sur Benoît Jaco et Jacques Doyon je suis extrêmement admirative que des comédiennes parlent aujourd'hui j'ai trouvé que Judith Garh avait un courage extrême l'actrice en a ensuite dit plus sur les agissements dont elle a été victime sans trop entrer dans les détails dans les années 1980 nous étions soumis à des dictamchistes quand je suis arrivé à Paris à 21 ans nous étions des proies souvent terrorisés assiégé oui j'ai subi des agressions j'ai été harcelé on m'a coincé dans des couloirs at-elle affirmé la femme d'honneur s'est aussi réjouie de la libération de la parole permise grâce au mouvement hashtagmou le plus important c'est que ce n'est plus possible