LE BILAN DÉSASTREUX QUE MACRON TENTE DE VOUS FAIRE OUBLIER AVEC LES JO

Published: Aug 04, 2024 Duration: 00:19:26 Category: News & Politics

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Titres [Musique] le média à la place de ces news ou BFM oui ou non rendez-vous sur tnt.lemediatv.fr en juilletaot quand vous AES une famille vous êtes obligé de partir en vacances parce qu'il y a des vacances scolaires et dans ce calendrier scolaire tout est très cher la SNCF est très cher les locations sont très cheres même si vous prenez un an à l'avance les les prix des biens alimentaires on fait plus 20 %. c'est énorme pas les salaires pas les salaires si on regarde une seule année ça peut être très dangereux là il faut regarder le taux d'inflation cumulé bonjour tout le monde vous le savez malgré notre dossier sérieux et la ferveur populaire le média n'a pas été sélectionné par l'arcom pour être diffusé sur la TNT mais nous ne lâchons pas le combat et nousous engageons un recours après le renouvellement de C news 6 chaînes sur 15 au groupe Boloré ou encore l'arrivée de real TV chaîne du milliardaire kretinski nous exigeons une répartition plus équitable et plus démocratique des fréquences TNT signnez et partageer notre grande pétition sur tnt.le mediatv.fr vous rêvez d'une autre info sur la TNT nous aussi pour nous on est ravi de vous retrouver pour ce nouvel épisode de l'instant porsché à l'heure où l'on est assommé par les discours de toutes parts il est bon de se poser faire le tri et décrypter bonjour Thomas salut Lisa avec toi aujourd'hui au programme les vacances ça ne concerne pas tout le monde et la politique économique de Macron dans laquelle il s'entête malgré les résultats négatifs concrets pour les Français c'est parti [Musique] Vacances début du mois d'août ciel bleu enfin ça ça dépend tout cela ferait presque oublier le bilan de Macron dans lequel il s'entête encore et toujours plus commençons par un exemple malgré les reportages qui se multiplient sur les départs en vacances c'est finalement seulement 60 % des Français qui font leur valise une fois par an selon l'Observatoire des inégalités le taux de départ en vacances monte à 76 % chez les plus aisés mais il est seulement de 42 % pour les plus modeste donc au revenu inférieur à 1285 € par mois le taux des plus pauvres retrouve le début des années 2000 l'Observatoire explique que les catégories supérieures partent plus car elles gagnent plus mais aussi parce qu'il y a toute une socialisation autour des vacances ça fait partie du mode de vie et ce souvent depuis l'enfance entre l'habitude mais aussi les réseaux qui font qu'on peut aller dans les résidences secondaires Thomas je le disais on retombe à un niveau des années 2000 pour les plus modestes qui partent en vacances qu'est-ce que ça veut dire pour toi comment tu l'analyses un peu B on voit très bien que les fruits de la de la de la croissance de la création de richesse n'ont pas été partagés de de manière équitable ils ont été partagés ils ont été captés par une une infime partie de la population qui elle peut se faire toujours plaisir en allant toujours plus loin dans les conditions toujours plus idyliques et puis il y a une partie de la population qui elle régresse et revient à un niveau 24 ans de de de pauvreté équivalent à celui de 24 ans d'il y a 24 ans et donc il y a une forme de régression et c'est l'inverse de ce que devrait être l'évolution d'un pays quand je vois aujourd'hui que que qu'on est revenu aux années 2000 pour pour ces gens-là ou par exemple que que les Grecs sont plus pauvres qu'il y a 20 ans euh et ben là vous vous dites que c'est c'est c'est quelque chose qui n qui ne va pas dans le sens normalement de l'évolution économique parce qu'il y a eu en 24 ans de la croissance et cette croissance cette création de richesse elle a été mal partagée et c'est ça le constat en fait de de ce chiffr là c'est important aussi pour un pays que sa population partte en vacances c'est c'est très important c'est très très important et tu l'as très bien dit au début c'est que il y a effectivement euh la première c'est la contrainte du revenu parce que les vacances coûtent cher parce que toutes les tarifications vous savez maintenant vous avez des tarifications qui varie en fonction de l'offre et la demande et toutes les tifications sont faites pour que en juilletaoût ce soit cher et en juilletaoût quand vous AES une famille vous êtes bloqué et vous êtes obligé de partir en vacances parce qu'il y a les vacances scolaires quand vous êtes un étudiant vous pouvez partir dans des zones un peu plus creuses en début septembre ou en juin quand vous avez fini vos vos examens quand vous êtes célibataire et que vous travaillez vous êtes salariés vous pouvez partir un gros de presque quand vous voulez mais quand vous êtes une famille vous êtes enfermé dans le calendrier scolaire et dans ce calendrier scolaire tout est très cher la SNCF est très cher les locations sont très cherres même si vous prenez un an à l'avance tout le monde sait que c'est une zone où il y a beaucoup de demande et et les prix sont chers donc il y a la contrainte de revenu mais il y a aussi clairement le le mode de vie quand toute votre vie vous êtes vous n'êtes pas parti en vacances vous commencez à être étudiant bah c'est des de mois de vacances sont de mois où vous pouvez accumuler une petite épargne que vous utiliserez dans l'année en travaillant ou sinon vous allez au centre de loisirs et Cera donc il y a aussi c'est vrai une façon de de voir les choses moi je me souviens que j'avais lu ce livre de Tin shikoat qui qui qui est un penseur afro-américain très très connu et il expliquait que voilà quand il était jeune et qu'il a commencé à gagner de l'argent il trouvait que partir en vacances c'était de l'argent perdu et il comprenait pas ça et que maintenant il comprend très bien et c'est ce qu'il fait avec ses enfants maintenant qu'il a qu'il a vendu des best sellerire et cetera c'est qu'il a très bien compris que le le les vacances c'était pas en fait une dépense perdue c'était plutôt un investissement parce qu'on découvrait d'autres choses on sortait de de de son quartier et cetera donc donc donc c'est important les vacances scolaires sont importants et c'est d'ailleurs pour ça que les que que les riches bah partent beaucoup en vacances parce qu'ils savent que ça ressource c'est pour ça qu' qu'ils ont beaucoup de dépenses aussi de de loisir qui peuvent être vu comme futiles dans les classes populaires mais qui font du bien qui sont bon les dépenses bien sûr médicales mais aussi paramédicales et les dépenses de bien-être et donc c'est très très important mais quand on est des énormément de dépenses contraintes des contraints revenus B pour beaucoup la dépense de loisirs c'est une dépense qui ne sert à rien cet été c'est aussi un bon temps pour faire un nouveau bilan de Macron qui s'entête dans sa politique économique malgré ses effets négatifs et dans son gouvernement malgré la défaite aux élections législatives le pouvoir d'achat des Français par unité de consommation fluctue depuis 2017 en 2023 il a augmenté de 0,3 % par rapport à l'année précédente on voit des petites montagnes mais tout de même un abaissement du niveau de vie en général depuis le début du premier quinquen Macron en fait le taux de de pauvreté a lui augmenté depuis 2017 on compte plus de 9 millions de pauvres en France en 2023 c'est-à-dire un niveau de vie avec moins de 1216 € par mois par unité de consommation Thomas est-ce que ces résultats ils sont du fait de la politique économique d'Emmanuel Macron ou de la fameuse conjoncture économique et de la géopolitique mondiale on on va dire des deux des deux en fait quand le le le quand on évalue le revenu ce que quelqu'un gagne il y a plusieurs échelons il y a le revenu qui est le salaire c'estàdire ce qui va gagner dans l'entreprise comment l'entreprise le paye et la deuxième partie c'est les prestations sociales qui va toucher les allocations familiales les aid de logements et cetera et la troisième chose c'est quand on prend en compte après tous les services publics qui lui sont offerts quand on prend en compte la totale il est vrai que la France qui a un modèle très redistributif depuis toujours et que Macron a voilà a abîmé vous avez effectivement les inégalités qui réduisent qui se réduisent drastiquement entre ce que vous toucher entre les différences de salaire et ce que vous avez au final grâce à la redistribution mais Macron dans toute sa politique s concentré que sur les salaires donc il a fait des micmc sur les cotisations et cetera on dis mais regardez vous augmentez vos revenus mais de l'autre côté les prestations baissaient et il y avait des attaques très sérieuses sur les services publics donc quand on prend le revenu en prenant en compte ces trois éléments bien sûr que les plus pauvres ce sont ce sont appauvrés et on l'avait souvent dit ici ce que Macron vous donne d'un côté il vous le retire de l'autre côté la taxe d'habitation il vous le rend vous êtes content vous payz plus la taxe d'habitation par exemple hein vous dites ah bah j'ai gagné un peu d'argent mais il va vous le retirer de l'autre côté puisque il y a un problème d'équilibre des budgets donc la politique de Macron ça a été une politique clairement qui a visé toujours pour les classes populaires à leur donner une chose à le retirer encore plus via les les économies sur les services publics notamment pour rembourser en partie aussi ces ces baisses d'impôt sur les plus riches sur les entreprises et puis après il y a l'aspect géopolitique conjoncturel qui a fait très fortement augmenter les prix avec l'inflation il y a pas eu de vraies réponses politiqu là-dessus il y a eu quelques aid à droite et à gauche qui ont eu un effet c'est clair mais il y a pas une réponse glob sur le pouvoir d'achat de sorte qu'entre 2020 et 2023 à part le SMIC parce qu'il est indexé et nous avions souvent ici défendu l'indexation des salaires notamment les indexations audessus en dessous du salaire moyen mais comme il est indexé à tenu en terme de pouvoir d'achat mais le salaire moyen a a perdu en pouvoir d'achat les prestations sociales les retraités ont perdu en pouvoir d'achat et les rattrapages qu'il y a aujourd'hui ce sont des rattrapages après coût c'est pour ça qu'il faut pas regarder la donnée en disant ah mais ces trois derniers mois les salaires ont augmenté plus vite que l'inflation oui mais c'est pas ça h le pouvoir d'achat chute drastiquement et qui reprend un petit peu des couleurs ça veut pas dire qu'on est revenu au niveau au niveau de départ donc oui il y a une perte de poouvoir d'achat comme on a jamais vu depuis les années 70 et aujourd'hui on l'a toujours pas rattrapé et donc il y a eu 3 ans où les Français ont dû s'adapter ils ont dû faire pareil continuer leur vie avec moins alors ils ont réduit la voilure notamment sur les vacances je pense notamment sur les dépenses de loisirs et ils ont étit plus sur les les discounters pour acheter des des des aliments donc il y a eu une vraie adaptation et on peut pas dire aujourd'hui parce que que les salaires réaugmentent un peu plus ces trois derniers mois par rapport à l'inflation que c'est que c'est fini c'est pas fini Les salaires justement tu en parles c'est bien aussi de faire des rappels de de chiffres un révélateur du quotidien concret des Français par exemple des médias avaient pu dire tu l'as dit que les salaires ont augmenté de 3,8 % cette année un niveau supérieur à l'inflation alors l'INC a rectifié ça on va faire un petit peu de de chiffrre mais au moins on comprendra bien en fait l'inflation à reflué donc s'établissant à + 2,3 % sur un an en juin 2024 contre + 4 5 % un an plus tôt les hausses de salaires restent toutefois modérées un c'estin c'est qu'il dit après 2 années de recul en 2022 et en 2023 le ralentissement des salaires en 2024 serait un peu moins marqué que celui des prix si bien que les salaires réels repartirai légèrement à la hausse sur l'année le salaire moyen par tête réelle augmenterait en moyenne de 0,5 %. et on le rappelle une inflation à plus 2,3 % veut dire que les prix continuent d'augmenter ils augmentent juste un peu moins rapidement Thomas comment on doit analyser un peu tous ces chiffres parce que on dit l'inflation ralenti c'est bien et cetera mais comme tu l'as dit a il faut un rattrapage des salaires alors la première chose que que qu'il faut dire il faut s'en méfier c'est que chaque fois qu'il y a une grande crise euh on essae en manipulant des données avec parfois beaucoup de maladresse de dire en fait que tout ça est psychologique moi je me souviens dans la crise 2008 il y a beaucoup de gens qui ont dit mais non c'est psychologique la crise 2000 c'est fini c'est dans la tête des gens c'est les gens qui veulent pas et là on n on essaie de nous expliquer la même chose non non non non il y a il a pas eu de problème de pouvoir d'achat tout va bien circuler il y a rien à voir regardez les salaires ont augmenté de temps si on regarde une seule année ça peut être très dangereux là il faut regarder le taux d'inflation cumulé le cumul qu'il y a eu sur les trois dernières années depuis 2020 ou 2019 et là quand on regarde le taux de le taux d'inflation cumulé c'estàd qu'on prend toutes ces années les les prix des biens alimentaires ont fait plus 20 %. c'est énorme et pas les salaires pas les salaires les salaires ils ont augmenté la première année de 1 2 % à peine donc là plus de 20 % c'est énorme donc il y a un rattrapage des salaires qui va se faire mais qui qui doit encore se faire et donc pendant ces trois dernières années et les gens ils vont quand même tous les jours au supermarché donc les prix alimentaires c'est l'inflation qui qui qui qui perçoivent bah quand ils vont au supermarchés ils ont l'impression de pouvoir moins acheter donc la réalité c'est que les salaires n'ont pas suivi l'inflation ces quatre dernières années et que c'est pas parce que le dernier mois ou la dernière semaine ou le dernier trimestre on a ses salaires qui augmentent plus vite que l'inflation qu'on peut dire c'est fini on a retrouvé le pouvoir d'achat c'est faux parce qu' il y a eu une chute vers vertigineuse les tro années précédentes et que le rattrapage va mettre un certain nombre de temps comment c'est possible de se Le pouvoir d'achat retrouver encore avec des résultats comme ça dans en France en 2024 est-ce qu'il y a est-ce qu'il faut remettre au sent de la question le pouvoir d'achat quand je dis remettre au sent de la question évidemment on en parle énormément dans les interviews politiques et cetera c'est un mot qui revient beaucoup c'est une expression qui revient beaucoup mais est-ce qu'il faut vraiment remettre le fond du problème sur sur la table en fait le vrai problème dans le pouvoir d'achat c'est les salaires ce qui essaie de nous faire croire le camp la macronie c'est qu'en fait c'est un problème de taxe donc pour eux la question du pouvoir d'achat c'est la baisse des taxes alors ils ont déjà baissé les cotisations comme je l'ai dit hein au début du kaken je crois que les gens s'en souviennent même plus euh ils veulent baisser encore un peu ils veulent baisser l'impôt sur le revenu il essay de toucher aux taxes euh en fait la vraie question c'est le salaire et le salaire c'est le nerde de la guerre et je veux dire ça date pas d'hier ça ça fait à peu près je dire la dans dans la création de richesse dans la valeur ajoutée la part des salaires a diminué dans les années 80 elle a chuté drastiquement elle est stable depuis elle estelle est stable mais elle a chuté drastiquement et depuis les années 80 on en parle plus et je veux dire tout le monde constate ça je dire même au niveau européen il y avait un moment le le président de la commission qui avait dit maintenant il faut parler de l'augmentation des salaires je veux dire la question elle est là mais mais pourquoi c'est une question difficile parce que c'est une question qui touche au partage des des richesses créées c'est ça et donc les gens ils veulent vous dire que non si on augmente les salaires ça va coûter trop cher aux entrepreneurs ils vont partir ils vont délocaliser voilà on a tous les chiffons rouges pour dire que ce serait une catastrophe mais c'est là le vrai combat et c'est le vrai combat de de la gauche aujourd'hui c'est celle de dire voilà on va mieux rémunérer le travail et et tout le monde l'a constaté je dire même des industriels comme Michelin on dit le SMIC on peut pas on peut pas vivre avec les dans l'hôtellerie il disent qu'ils arrivent plus à tirer des profil parce que le le travail est trop mal payé par rapport aux heures fourni tout le monde le constate donc il va falloir V moment qu'il y ait cette question qui soit misise sur la table la question de de des salaires d'augmenter les salaires et je veux dire ça sera pas probablement aussi inefficace qu'on le dit parce que quand vous payez bien quelqu'un il travaille mieux je veux dire il travaille mieux quand vous payez quelqu'un très mal bah à la fin il utilise tous les moyens pour euh ça ça s'appelle le salaire d'efficience pour faire en sorte de pas de pas produire ce qu'il doit produire parce qu'il est maltraité si vous voulez que des salariés s'investissent dans l'entreprise ben il faut bien les rémunérer c'est c'est le nerf de la guerre et donc cette question là elle doit être portée vraiment par la gauche parce que ni la macronie ni la droite et et je crois qu'une partie du PS je pense que le rapport de force à tenir serait tellement fort avec le patronat ne ne ve ne veut porter cette question là or c'est la question pour moi c'est la question centrale aujourd'hui d'un gouvernement de gauche va-t-il augmenter les salaires en commençant par le SMIC oui ou non surtout Emmanuel Macron Les prestations sociales n'arrête pas de de viser les prestations sociales même certains peuvent dire le le mot assistana le fameux et cetera mais si on toque la porte des entreprises privées qui elles font des bénéfices pour augmenter les salairire je parle des grandes entreprises et on parle pas des PME TPE qui à chaque fois reviennent dans le débat que que pendant cette question là d'ailleurs euh si on si toque à la à la porte des entreprises pour que les salaires augmentent il y aura forcément moins de prestations sociales aussi donc on n'arrête pas de nous parler de D au déficit mais on dirait qu'ils veulent pas aller chercher l'argent là où il est non non ils veulent pas chercher l'argent là où il est mais ce qui est assez marrant c'est que chez Macron en fait il y a une volonté de dire bon ok le travail ne pa pas mais pour sauver la dignité de des gens qui travaillent et qui n'ont pas un grand salaire on va faire en sorte que ceux qui travaillent pas soient encore plus dans la dans dans dans une situation difficile parce que déjà aujourd'hui il faut le dire ce qui touche des prestations à pas je veux dire il y a toujours un exemple qu'on va vous trouver mais je crois qu'il n'existe même pas parce que je crois que c'est une une légende urbaine de dire qu'on va mieux gagner avec des prestations que qu' qu'en travaillant voilà ça peut un peu se toucher il peut y avoir dans certains cas dans certains cas des arbitrages mais globalement le travail ne se résume pas uniquement qu'au salaire parce que vous avez quand même une comment vous dire une reconnaissance sociale et une dignité dans le travail et on l'a bien vu quand quand les plateformes sont ouverts il y a beaucoup de gens qui ont plongé là-dedans en travaillant beaucoup et en gagnant très peu parce qu'au moins ils avaient une forme de dignité et c'est ça qui est scandaleux c'est-à-dire que oui ils peuvent travailler oui c'est bien mais il faut qu'ils aent un droit du travail et d'ailleurs la plupart des chauffeurs uber aujourd'hui s'en plaignent mais ils sont quand même ils ont réussi employer plein de gens qui voulaient travailler pour avoir une certaine dignité même si les conditions étai ét étaient dégradé mais Macron comme il ne veut pas s'attaquer au salaire il a théorisé lui-même lubérisation de l'économie il a il a rendu avec des lois de travail les CDI qui sont de plus en plus cassables et on peut de plus en plus facilement licencier quelqu'un son but c'est de dire bon vous avez perdu beaucoup de dignité vous avez perdu beaucoup de sécurité l'ubérisation de l'économie on sen rend compte c'est très dur donc qu'est-ce qu'on va faire bah pour que vous vous sentiez quand même bien on va faire en sorte que les autres et ben ils ont encore moins de prestations comme ça vous pourrez dire bah je travaille et ça paye plus que c'est ça son but mais c'est pas ça le le nerf de la guerre aujourd'hui de la guerre c'est de faire en sorte que ceux qui sont des travailleurs indépendants luubérisation et ben que ça cesse qu'au bout d'un moment ce soit contractualisé dans un cadre et de faire en sorte que ceux qui aent des salaires ils gagnent plus voilà queil y ait un retour d'une classe moyenne et pas un un affaement de cette classe moyenne vers la classe les plus pauvres pu cette stratégie ça permet aussi de détourner le regard des gens vers le bas plutôt que vers le haut exactement la la victoire des des gens qui ont qui sont les plus riches qui sont un petit nombre en réalité grand patron des gens qui sont des gagnant en fait de de ce système là qui sont un plus petit nombre c'est c'est quoi ils savent qu'ils sont un plus petit nombre donc ils restent unis bien que parfois concurrents ils restent unis sur un certain nombre d'éléments et par exemple les baisses d'impôts ils peuvent être très concurrents parfois mais ils sont tous d'accord sur le fait qu'il faillent baisser les impôts sur la réglementation du marché du travail ils sont concurrents parfois de grandes boîtes mais ils sont d'accord sur le fait qu'il faille déréglementer le travail et ce qui compte pour eux bien sûr c'est que le plus grand nombre qui a tout intérêt à ce que ça change soit divisé donc il faut créer des opposition horizontale alors que la vraie opposition elle devrait être verticale du bas vers le haut et là on crée des oppositions horizontales en clivant entre euh la France des campagnes contre la France des banlieux des grandes villes en clivant les cadres contre les ouvriers les ouvriers contre les employés les salariés contre les les U et ainsi de suite les chômeurs contre les salariés et voilà et on crée des des des des des des façon de s'opposer pour éviter qu'il y ait ce combat justement vertical merci à vous chez vous d'avoir suivi cet épisode de l'instant Porcher j'attrape une dernière fois votre attention avant de se quitter la situation politique et inédite historique de directes par jour du terrain du reportage mile l'enquête le média c'est 25 travailleurs et travailleuses qui produisent de l'information au quotidien vous le savez nous avons appris avec consternation la décision de l'arcom au sujet du renouvellement des fréquences TNT malgré un dossier solide original et financé notre candidature porté par une alliance inédite de médias indépendants mais aussi par les 4000 sociétaires de notre coopérative a été rejeté mais voilà alors que nos médias étouffe sur la férule oppressive de milliardaires qui les utilise comme instrument d'influence et de séduction des pouvoirs politiques LARCOM a choisi le statut co le groupe Boloré conserve six fréquences sur 15 don ces news l'arcom consacre l'entrée dans le PAF du milliardaire tchck Daniel kretinski qui s'est enrichi dans le rachat de centrale à charbon hyper polluante et en fin de cycle et qui se construit un empire sur le modèle classique fondé sur l'hyper concentration médiatique Marianne elle Fran tireur bref tout change pour que rien ne change aucune solution n'est apportée au problème de concentration de manque de pluralisme et de diversité des médias télé présents sur ces fréquences qui nous appartiennent à toutes et tous mais le média n'est pas seul fort d'une puissance dynamique citoyenne nous allons tout à la fois renforcer notre projet éditorial et conforter notre modèle mais aussi engager très vite un recours nous exigeons une répartition plus équitable et plus démocratique des fréquences signé et partageer notre grande pétition sur tnt.lemediatv.fr force à nous force à vous qui nous regardez qui nous partagez qui nous aimé et qui nous financit spectateurs abonnés donatrices et sociaux je vous dis à très vite [Musique]

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