Emmanuel ma en privé justifiait son refus de la candidature de Lucy castetz au poste de Premier ministre selon les informations rapportées par Asterisk l Express Asterisk ce lundi t septembre le président de la République aurait exprimé des préocupations concernant les conséquences économiques et institutionnelles d'une telle nomination il aurait déclaré que si Lucy castetz ou un représentant du nouveau front populaire NFP était nommé cela pourrait conduire à l'abrogation de la réforme des retraites à une augmentation du Smic à one seindre d'uro et pourrait provoquer une panique des marchés financiers entraînant la France dans une crise ce refus de nommer Lucy castetz justifié officiellement par la recherche de stabilité institutionnelle semble donc définitif Emmanuel Macron en maintenant Gabriel Atal en poste par intérim continue de chercher un nouveau Premier ministre qui pourrait répondre à ses attentes sans remettre en cause les réformes déjà en place le nom de Bernard cas casenu ancien ministre socialiste est de plus en plus cité comme potentiel successeur ce lundi tout septembre le président poursuit ses consultations ayant rencontré des personnalités politiques influentes telles que les anciens présidents François Hollande et Nicolas Sarkozi ainsi que Xavier Bertrand la question reste de savoir si ces consultations aboutiront à la nomination de case neu ou d'un autre candidat capable de répondre aux critères fixés par Macron Lucy castetz pour sa part a réagi vivement au refus présidentiel déclarant dans astérisque de gardien astérisque qu'Emmanuel Macron se sent menacé par les intentions de son mouvement de changer les politiques actuelles et qu'elle est prête à faire des compromis tout en défendant fermement ses positions elle a également critiqué l'idée que la stabilité invoquée par Macron puisse en réalité créer plus d'instabilité remettant en cause le processus démocratique perçu par une partie de l'électorat alors que le temps passe les Français attendent toujours de connaître le nom de celui ou celle qui succédera à Gabriel Atal dans un climat politique de plus en plus tendu