[Antoine Perel] Il faut
travailler énormément la synchronisation,
c'est énormément de temps passé sur le vélo, en piscine, en eau libre
et en course à pied. Ça demande beaucoup plus de temps
de travail qu’un athlète valide. En natation,
il y a une communication gestuelle. On essaie de nager
sur le même coup de bras. En vélo, lui, va beaucoup me parler. Il va me donner notre position,
celle des adversaires : devant ou derrière. Les écarts aussi. Il va même me dire de m'hydrater. Et à pied, pareil. C'est un boulot de fou à pied aussi. Il y a un guidage au poignet,
donc un virage à droite, à gauche. Il prend mon poignet,
puis un dos d'âne, une marche... C'est énormément de communication. Pour se qualifier pour les Jeux de Paris, il y aura une dizaine de compétitions
à travers le monde. Pour se qualifier, ils vont prendre
les 3 meilleurs résultats de l'année. C'est à la maison, l'opportunité de faire venir la famille,
les amis, tous les gens qui sont autour, qui nous apportent beaucoup
dans ce projet Paris 2024, pourront venir assister
à cette grande fête.