đŸ’„Julien Nkoghe Bekale et la dĂ©pĂ©nalisation de l’Attentat Puis, la constitutionalisation đŸ‡ŹđŸ‡ŠđŸ’„

Published: Jul 09, 2024 Duration: 01:15:24 Category: People & Blogs

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la RĂ©publique parce queun magistrat est avant tout quelqu'un et bien qui doit rendre la justice au nom du peuple gabonais qui doit agir au nom du peuple gabonais donc un magistrat ce n'est pas quelqu'un qui se met au pouvoir pour exĂ©cuter et bien les volontĂ©s d'un individu qui qu'il soit Ă  Libongo soit-il mais c'est une personne qui dĂ©cide de prĂȘter serment de servir la nation en donnant Ă  cette nation la possibilitĂ© pour son peuple de vivre ensemble dans le respect de ce que l'on appelle l'ordre public un magistrat ne peut donc pas se retrouver et bien dans une situation en donant Ă  o il serait en total excusez-moi oĂč il serait en total ILReS de quelque nature que ce soit de l'ordre public c'est quoi l'ordre public d'un pays le Gabon qui est un Ă©tat dispose de deux ordres publics il y a l'ordre public national il y a l'ordre public international donc on a l'ordre public gabonais national et on a l'ordre public gabonais international c'est quoi l'ordre public c'est cet ensemble de rĂšgles qui permettent aux individus Ă  l'Ă©chelon national de vivre ensemble et bien d'organiser la vie en sociĂ©tĂ© de savoir ce qu'il ne faut pas faire et ce qu'il convient de faire pour que les uns et les autres soient dans une sociĂ©tĂ© oĂč ils peuvent se mouvoir oĂč ils peuvent exister et l'ordre public international lui va aller toucher les rĂšgles de droit gabonais et bien qui ont des incidences avec des Ă©lĂ©ment d'extranĂ©itĂ© c'est-Ă -dire et bien un gabonais peut se retrouver dans un pays Ă©tranger alors que ce pays Ă©tranger lĂ  euh dispose de son ordre public qui lui est totalement contraire Ă  l'ordre publicique gabonais on va donc regarder les dispositions auxquelles le Gabon a adhĂ©rer pour que l'on dĂ©cide par exemple des dispositions recevables dans le cas oĂč le Gabonais est concernĂ© donc toutes les fois que le Gabon va se retrouver dans des instruments internationaux qui sont de nature Ă  constater que naturellement et bien des dispositions prĂ©vues sont contraire aux dispositions internationales auxquell ce Gabon a adhĂ©rĂ© et par rapport rapport Ă  la trace et la traçabilitĂ© ou du moins de la dĂ©clinaison que le Gabon entend faire Ă  l'ordre interne de ces disposition lĂ  on est dans l'ordre public international donc chaque pays au monde en tout cas les Ă©tats normalement constituĂ©s disposent de deux ordres publics on a l'ordre publique national on a l'ordre publique international et dans cet ordre public international on a aussi des choses qui ne dĂ©pendent pas du Gabon mais au le Gabon a adhĂ©rĂ© qui donc contraignne le Gabon Ă  observer une certaine attitude dans le respect de ce qui a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© lĂ  par le plus grand nombre sinon on tombe en totale violation de cet ordre public international auquel cas on doit rĂ©pondre de ces actes voilĂ  donc qu'un magistrat de formation un ancien Premier ministre de la RĂ©publique pour ne citer que ces deux fonction ou du moins ces deux qualitĂ©s se retrouvent Ă  faire une confĂ©rence de presse dans laquelle il demande que l'on mette dans la Constitution que les militaires ont le droit et bien de renverser les institutions de la RĂ©publique de faire un coup d'Ă©tat s'ils estiment que il y a de la dictature dans le pays mon dieu c'est quoi la dictature est-ce que est-ce que la dictature est une infraction non c'est quoi la dictature tout ce qui est philosophiquement qualifiable de dictature et bien est pĂ©nalement reprĂ©hensible donc si on veut parler de dictature il faut qu'on recherche dans les Ă©lĂ©ments de la dictature quels en sont les violations de l'ordre public gabonais si on les constate effectivement dans un État organisĂ© normalement constituĂ© il y a des dispositions qui permettent que et bien les personnes en cause rĂ©pondent de leurs actes quand Julien Corbe C a votĂ© kaliongo prĂ©sident de la RĂ©publique soit impoursuivable pĂ©nalement a votĂ© l'irresponsabilitĂ© pĂ©nale d'Ali Bongo pendant son mandat et aprĂšs son mandat ce juliencbe cal voudrait installer dans une RĂ©publique dans une rĂ©publique et bien le coup d'État c'est-Ă -dire une offense Ă  la RĂ©publique une offense Ă  l'existence mĂȘme de la RĂ©publique cette offense doit se retrouver dans la Constitution qui est le document qui consacre la RĂ©publique j'ai du mal Ă  comprendre il faut monsieur Julien corbeal vous acheter ce livre il est Ă  la maison de la presse c'est peut-ĂȘtre un problĂšme d'ignorance totale parce que beaucoup se prĂ©valent aussi des qualitĂ©s qu'il ne reflĂštent pas parce que beaucoup sont allĂ©s Ă  l'Ă©cole avoir des diplĂŽmes sans pour autant incarner ces diplĂŽmes parce que soit ils ont trichĂ© Ă  l'Ă©cole soit ils ont fait le bshing crashing de la veille de l'examen oĂč tu vas rĂ©pĂ©ter tout le cours Ăč et bien le jour de l'examen tu vomis tout de jours aprĂšs tu ne connais plus rien du tout un magistrat ne peut pas au nom de ce que vous prĂȘtez serment pour faire appliquer l'ordre public pour faire respecter l'ordre public ne peut pas se retrouver en situation en situation de demander que et bien le coup d'État soit institutionnalisĂ© soit constitutionnalisĂ© alors si c'est un problĂšme d'ignorance la solution est vite trouvĂ©e vous allez Ă  la Maison de la Presse vous achetez votre livre il est Ă  38000 francs seulement prenez de votre temps achetez-le lisez-le n'allez pas en faire une dĂ©coration dans votre bibliothĂšque lisez-le de lĂ  vous sortirez informĂ© de tout ce que vous devez savoir sur la RĂ©publique c'est quoi une rĂ©publique quels sont les grands principes de la RĂ©publique quels en sont les critĂšres queles en sont les dĂ©clinaisons et pour revenir Ă  la notre la RĂ©publique gabonaise quels en sont les critĂšres quelles en sont les dĂ©clinaisons vous savez les textes comme ceux-l le code pĂ©nal de la RĂ©publique gabonaise ne sont que la traduction de tout ce qui est Ă©voquĂ© dans la Constitution c'est donc la Constitution qui donne force de matĂ©rialisation de tous ces codes pĂ©nals civils et cetera et cetera parce que c'est la Constitution qui donne les grandes lignes chers compatriot je suis outrĂ© de considĂ©rer que vous qui avez tant reprĂ©sentĂ© la RĂ©publique vous ne saviez pas peut-ĂȘtre ce que c'est un coup d'État je vais vous faire lecture peut-ĂȘtre dans le code pĂ©nal parce que vous avez citĂ© que c'est un crime avec autant de lĂ©gĂšretĂ© pensant que c'Ă©tait mĂȘme un crime banal encore qu'il n'y a pas de crime banal peut-ĂȘtre que c'Ă©tait un crime ou un dĂ©lit je sais pas comment vous vous vous expliquer je vais vous dire ce qu'est le le le le le coup d'État dans le cĂŽe P et bien vous prendrez la partie sur les atteintes aux intĂ©rĂȘts fondamentaux de la nation et dans cette partie vous allez trouver le chapitre 7 de l'attentat je vais vous en faire lecture article 68 du code pĂ©nal en vigueur il est de 2021 derniĂšre modification alors constitue un attentat le fait de commettre un ou plusieurs actes de violence de nature Ă  mettre en pĂ©ril les institutions de la RĂ©publique ou apporter atteinte Ă  l'intĂ©gritĂ© du territoire national sans prĂ©judice de l'application des dispositions relatives au terrorisme prĂ©vu au titre 2 du Livre 2 du prĂ©sent code l'attentat est puni de 30 ans de rĂ©clusion criminelle et d'une amende de 50 millions de francs CFA ou plus l'attentat dont le but aura Ă©tĂ© soit de dĂ©truire ou de changer le rĂ©gime constitutionnel ou le gouvernement soit d'inciter les citoyens ou habitants Ă  s'armer contre le autoritĂ© de l'État est puni de la de la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ© et d'une amende de 100 millions de francs Cfa au plus l'attentat dont le but aura Ă©tĂ© soit d'inciter Ă  la guerre civile en armant ou en portant les citoyens ou habitants Ă  s'armer les uns contre les autres soit Ă  occasionner la dĂ©vastation le massacre ou le pillage dans toute partie du territoire gabonais est puni de la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ© et d'une amende de 100 millions de francs ce que fait okumba Wilfried lĂ  ça se retrouve mĂȘme dans ce document lĂ  donc voilĂ  ce qui est en des termes clair et simple le coup d'État parce que le le coup d'État c'est l'alinĂ©a 3 l'attentat dont le but a Ă©tĂ© oĂč aura Ă©tĂ© soit de dĂ©truire ou de changer le rĂ©gime constitutionnel on mais oĂč on n'a pas dit et oĂč le gouvernement ce qui a Ă©tĂ© fait par les militaires et bien est pass possible de la condamnation Ă  perpĂ©tuitĂ© et de 100 millions de francs d'amende donc nos bouistes actuels en cours si aujourd'hui on dĂ©cidĂ© de les poursuivre en justice et bien la perpĂ©tuitĂ© c'est-Ă -dire comme il y a plus de peine de mort au Gabon et bien on les Ă  la prison Ă  vie c'est ce que signifie la perpĂ©tuitĂ© la prison Ă  vie et il p 100 million d'euros 100 millions de francs Cfa d'amende mais nous on a tout un Premier ministre qui dĂ©cide et bien de demander que l'on constitutionnalise C acte que l'on constitutionnalise et bien les attentats les attentat dans une RĂ©publique alors que la Constitution est claire tout qui serait de nature Ă  demander et bien le renversement des institutions est un attentat et voilĂ  ce que nous dit le code ce que nous dispose le code pĂ©nal en dĂ©finissant ce l'attentat on parle de toute qui sera de nature Ă  changer un gouvernement Ă  renverser les institutions de la RĂ©publique et bien est possible pour les auteurs donc tous ceux qui ont fait le coup d'État lĂ  tous nos militaires lĂ  ils risquent la condamnation Ă  perpĂ©tuitĂ© et au-delĂ  de risquer la condamnation Ă  perpĂ©tuitĂ© il paye une peine de 1 100 million d'euros euh je dis d'euros de Franc CFA d'amende c'est chacun individuellement tout acteur pris isolĂ©ment mais vous arrivez Ă  banaliser par manque de cour par manque de couille il faut le dire par manque de courage et de couille vous arrivez Ă  banaliser un acte hautement criminel parce que quand un crime est condamnĂ© avec de la perpĂ©tuitĂ© c'est en rĂ©alitĂ© que c'Ă©tait un crime qui encourait au temps oĂč le Gabon n'avait pas encore aboli la peine de mort est un crime qui encourrait la peine de mort c'estĂ dire te prend on te met au couloir de la mort on te tue ça s'arrĂȘte lĂ  on ne va pas tergiverser longtemps pour que cela ne se reproduise plus jamais mais comme nous avons adhĂ©rĂ© Ă  l'ordre public international qui interdit et bien la peine de mort on a rĂ©adapter nos textes en dĂ©pĂ©nalisant non non pas en dĂ©pĂ©nalisant en rĂ©amĂ©nageant la peine le droit de la peine en RĂ©publique gabonaise en faisant bien Ă©videmment de C qu' la nation des peines tout simplement de perpĂ©tuitĂ© parce que la peine de mort n'est plus d'actualitĂ© n'est plus valable j'ai mal Ă  mon Gabon de me rendre compte de la merde dans laquelle nous avons vraiment Ă©tĂ© parce que si quelqu'un comme Julien corbeal a Ă©tĂ© premier ministre de ce pays et qui n'est mĂȘme pas fichu de dĂ©fendre la RĂ©publique de dĂ©fendre le Gabon de dĂ©fendre ce qui fait que nous soyons gabons c'est la RĂ©publique gabonaise en fait donc et que ce dernier appelle Ă  rendre constitutionnel et bien un attentat et bien je suis outrĂ© je me rends compte de l'incompĂ©tence et de la manƓuvre frauduleuse dont tu as Ă©tĂ© peut-ĂȘtre victime alib Bongo ou alib Bongo lui-mĂȘme de par son dĂ©faut de vĂ©ritable leadership qui lui qui l'empĂȘchait d'avoir un discernement sĂ©rieux dans le choix des acteurs politiques qui devaient accompagner bien Ă©videmment ces politiques mais comment peuple gabonais vous vous demandez vous que et bien Ali bongon'est pas rĂ©ussi son magnifique projet de sociĂ©tĂ© en ayant des gens comme Julien corbecal comme chef de gouvernement il ne pouvait pas rĂ©ussir aujourd'hui tout le monde veut s'accorder Ă  jeter la pierre alib Bongo alib Bongo Ă  ses erreurs Ă  sa grande responsabilitĂ© mais mĂȘme si tu tu es Dieu comme quoi sa responsabilitĂ© a Ă©tĂ© de choisir des personnes qui n'auraient pas fallu mais on peut aussi sauver Ali Bongo en disant que ces gens-lĂ  ont usĂ© de manƓuvres frauduleuses utilisĂ© dans l'infraction desescroquerie de par l'usage de vraie qualitĂ© en disant que moi magistrat de la RĂ©publique et bien je suis gage de bonne moralitĂ© je suis gage de la reprĂ©sentation du peuple puisque que j'ai dit j'ai rendu la justice dans mon pays au nom du peuple gabonais il n'y a pas plus magistrale que la fonction de magistrat ou la profession de magistrat la profession pas la fonction il n'y a pas plus magistral parce que mon Dieu vous vous constituez Dieu au-delĂ  de toutes nos croyances et de la laĂŻcitĂ© de l'État quand vous arrivez Ă  dire que c'est vous qui allez juger les autres hommes et femmes comme vous et ben on vous attribue et bien des des prĂ©rogatives divins parce que c'est seul Dieu qui juge mais si vous on a dĂ©cidĂ© dans une sociĂ©tĂ© organisĂ©e de faire de vous des personnes en capacitĂ© de juger et voilĂ  comment vous vous comportez franchement j'ai mal Ă  mon Gabon au point de demander de lĂ©gitimer de constitu de constitutionnaliser et bien les atteintes aussi graves Ă  la RĂ©publique de constitutionnaliser et bien des infractions de telle nature c'est-Ă -dire les derniĂšres infractions les infractions les plus graves de la vie de la RĂ©publique un coup d'Ă©tat un coup d'Ă©tat mon Dieu un attentat lisez la Constitution ne lisez jamais les textes lĂ  sĂ©p sĂ©parĂ©ment vous lisez la Constitution vous lisez le code pĂ©nal vous allez faire le cloison et vous allez vous rendre compte de la gravitĂ© de votre propos je ne sais pas j'ai envie de dire quelque chose vraiment peuple gabonais excusez-moi l'expression on se revendique toujours de notre africanitĂ© on se revendique toujours que le pouvoir c'est une question de virilitĂ© on se revendique toujours que c'estĂ dire que les urines d'une femme ne peuvent pas traverser un TR d' pour justifier de ce que une femme ne peut pas parler des choses importantes des choses graves dans la vie d'une rĂ©publique des choses qui sont de nature engager parce que ce sont des sujets d'homme mais qui a baissĂ© froc en fait qui a baissĂ© vos frocs Ă  ce point que mĂȘme vous revendiquez un minimum de votre virilitĂ© vous ne pouvez plus qui a fait ça il faut me donner le nom de la personne je vais me charger de m'occuper de cette personne parce que les hommes dans mon pays ne peuvent pas se rĂ©duire Ă  ça mon dieu j'ai mal Ă  mon Gabon parce que je ne vois pas ce qui peut justifier de baisser autant son froc alors qu'on est en train de parler des choses sĂ©rieuses qui engag la vie de gĂ©nĂ©ration et de gĂ©nĂ©rations je ne sais pas comment on fait pour se retrouver dans ce genre de situation Ă  Julien corbecal qu'est-ce qui se passe dans vos tĂȘtes qu'est-ce qui se passe dans vos tĂȘtes que vous qui aimez toujours nous dire que le pouvoir s'incarne de par la masculinitĂ© du pouvoir le pouvoir s'incarne et se reconnaĂźt de par la virilitĂ© oĂč est donc passĂ© votre virilitĂ© Ă  baisser le froc comme ça elle est passĂ©e oĂč elle est passĂ© oĂč votre virilitĂ© qui doit vous faire assumer ne serait-ce que le statut de magistrat qui doit vous faire ne serait-ce qu'avoir en souvenir de ce que vous avez signĂ© plusieurs documents qui engagent la vie de la RĂ©publique gabonaise en tant que Premier ministre de la RĂ©publique que vous allez vous lever ce n'est pas de l'ordre de la libertĂ© d'opinion c'est de l'ordre de l'Apologie au crime si le procureur de la RĂ©publique m'entend il devrait ouvrir il devrait ouvrir une enquĂȘte il devrait vous poursuivre pour apologie au crime ce n'est pas de la libertĂ© d'opinion ça demandz que l'on constitutionnalise l'attentat mais bon sang qui a baissĂ© vos flocs si vous ne pouvez pas ne serait-ce que ĂȘtre digne et de vous taire mais disparaissez circulez personne n'a envie de de de de de lire de telles insanitĂ©s de la part des personnes qui ont signĂ© des textes qui ont engagĂ© nos vies ensemble nos vies Ă  nous tous quand vous signez en tant que Premier ministre c'Ă©tait en votre nom personnel vous avez engagĂ© le Gabon vous nous avez engagĂ© quand vous avez signĂ© en tant que Premier ministre de la RĂ©publique et c'est vous qui venez faire apologie au crime c'est vous qui venez faire apologie au coup d'État parce que vous avez envie de plaire au militaire vous ne vous rendez pas compte que ce n'Ă©tait mĂȘme pas un sujet pour les Gabonais puisque naturellement on avait admis que de par les mois que ça a suscitĂ© de la respiration d'oĂč nous sortons d'aprĂšs le 30 aoĂ»t on avait mĂȘme admis inconsciemment que les militaires soient puisque vous l'avez mis dans le projet de Constitution ou du moins dans les recommandations du peuple ou que que vous attribuez au peuple que les militaires soient exemptĂ©s de toute poursuite pourquoi ils l'ont mis et pourquoi ils l'ont mĂȘme prĂ©vu dans la chat parce qu'ils sont conscients que c'est un crime mĂȘme les militaires eux-mĂȘmes n'ont pas osĂ© Ă©crire dans la Constitution que les coups d'État devenaent bien Ă©videmment dĂ©pĂ©naliser des attentats c'est de ça dont il est question les renversements de gouvernement de pouvoirs de rĂ©gime mĂȘme les militaires n'ont pas osĂ© aller aussi loin ce que vous oubliez c'est que si c'est pour plaire Ă  oligi mais vous pensez que si oligi vient au pouvoir lĂ©galement il aurait envie de subir un coup d'Ă©tat non personne ne veut subir un coup d'Ă©tat personne ne veut subir un coup d'Ă©tat mĂȘme pas celui qui l'a fait mĂȘme pas celui qui l'a fait ne veut subir un coup d'Ă©tat mon dieu j'ai grandit dans un environnement oĂč quand Gisel l se levait pour parler de politique am musique on lui dis c'estĂ d que les urines d'une femme ne traverse pas un Tron d'Ar pour affirmer de ce que une femme ne peut pas parler des sujets politiqu elle ne va pas aller bien loin n pas ce qu'il faut elle n' pas des critĂšres et des caractĂ©risti masculin qui la rendrait en capacitĂ© d'assumer la charge que c'est le pouvoir mais vous vous avez vendu votre virilitĂ© au chien votre masculinisation de pouvoir vous avez vendu au chien vous n'avez pas honte ne serait-ce que tout ce que le Gabon vous a donnĂ© vous n'avez pas honte de trahir le Gabon de cette maniĂšre vous n'avez pas honte de trahir le peuple gabonais de cette maniĂšre vous n'avez pas honte mon Dieu beaucoup prennent cela avec beaucoup de lĂ©gĂšretĂ© je ne peux pas je ne peux pas ça aurait Ă©tĂ© un autre gabonais comme beaucoup de gabonais le chantent dans les rĂ©seaux sociaux je ne me serais mĂȘme pas arrĂȘtĂ© pour intervenir mais ne serait-ce que votre qualitĂ© mon Dieu vous ĂȘtes magistrat vous avez un jour dans ce pays rendu la justice au nom du peuple gabonais et c'est ce peuple gabonais que vous allez condamner Ă  l'instabilitĂ© vous imaginez mĂȘme les consĂ©quences de ce que ça peut ĂȘtre de mettre dans une constitution mais ça ne sera plus une constitution parce qu'une constitution ne s'automutile pas une Constitution ne s'autoagresse pas une constitution bien Ă©videmment doit prĂ©voir les conditions qui doivent ĂȘtre reportĂ© gĂ©nĂ©ral Ă  Ă©diicter les rĂšgles spĂ©ciales qui vont gouverner la RĂ©publique et dans notre forme de gouvernement vous pensez que vous allez remettre cela en question il n'y a pas de RĂ©publique sans ordre publ et il n'y a pas d'ordre public et bien quand on lĂ©gitime les attentats quand on dĂ©pĂ©nalise les attentat mais au mieux on ne fait pas que de les dĂ©pĂ©naliser et bien on les brandit en norme social on les brandit en valeur de notre pays le coup d'État est devenu une valeur mais mon dieu souvent avant vos expressions publiques vous ne rĂ©flĂ©chissez pas 2 secondes vous ne pensez pas 2 secondes qui vous a dĂ©truit Ă  ce point puisqu'on est dans une considĂ©ration et un environnement oĂč c'est toujours la faute de l'autre qui vous mange qui vous mange au village qui vous a mangĂ© c'est trop grave un ancien Premier ministre vous rendez compte du niveau auquel nous sommes c'est vous quivez condamn les militaires Ă  faire toutes les conneries qu' sont en train de faire parce qu'il Ă©tait de vos responsabilitĂ©s d'assumer une partie un de de votre virilitĂ© que vous nousz chantĂ© touts vies tout mon enfant je me souviens de T discours misogy on envoit au flot pour dire qu'elle doit sa place Ă  la cuisine quand j'entends C discours de tous ces hommes politiques pour dire qu'une femme ne peut pas incarner le pouvoir dans ce pays parce que pour incarner le pouvoir il faut une dose de virilitĂ© et cette virilitĂ© elle Ă©tait assimilĂ©e au sexe masculin mais oĂč oĂč elle est donc la votre votre virilitĂ© elle est oĂč c'est la bassesse Ă  laquelle vous nous avez Ă©duquer pour dire que une femme non ces urin ne peuvent pas traverser c'est le ton d'Ăą une femme sa place est Ă  la cuisine vous voyez j'en per mĂȘme ma voix parce que je suis outrĂ©e mais c'est trop grave ou lĂ  lĂ  excusez-moi lĂ  [Musique] oh mon dieu c'est pas possible j'ai pris le miel et ça m'a foutu partout excusez-moi excusez-moi les miens vraiment j'ai essayĂ© de prendre du miel j'en ai foutu partout donc j'Ă©tais en train de dire que je suis outrĂ©e je suis outrĂ© parce que je ne comprends pas comment nous qui avons grandi dans ce pays en chantant qu'une femme ne devait jouer qu'un rĂŽle de second plan nous qui avons grandi dans ce pays en ayant un exemple que et bien derriĂšre un grand homme se cache une grande dame on a mĂȘme inculquĂ© ça Ă  nos enfants que une femme ne pouvait ĂȘtre que derriĂšre un grand homme si elle est trĂšs bonne elle façonne un grand homme une femme ne pouvait pas ĂȘtre au devant de la scĂšne et prendre le pouvoir parce qu'on nous a expliquĂ© les attributs du pouvoir masculinisĂ© et on dĂ©fendait cela cor Etam avec le fait que naturellement un homme et bien c'est la virilitĂ© incarnĂ©e et que au nom de cette virilitĂ© il ne saurait se trouver dans dans des situations il ser en condition de baisser la culotte ou en condition de ramasser les CL aujourd'hui nous ne faisons que constater choses qui peuvent s'assimiler Ă  ce ramassage de clĂ© mĂȘme si ce n'est que trĂšs hypothĂ©tique mais c'est Ă  cela que cela s'assimile de dire qu'un homme ne peut plus utilement se revendiquer sa virilitĂ© ne peut plus utilement se revendiquer ça c'est juste sur des attributs de pouvoir qu'on nous a toujours enseigner chez les hommes je ne parle mĂȘme pas de se revendiquer sa citoyennetĂ© parce qu'en rĂ©alitĂ© ce qu'on devrait se se se revendiquer c'est sa citoyennetĂ© et quand on se revendique sa citoyennetĂ© on na pas besoin d'ĂȘtre un homme ou une femme ou non genrer on a besoin d'ĂȘtre un ĂȘtre humain point et au titre de ce qu'on est un ĂȘtre humain on jouit des mĂȘmes droits civiques civil et politique et donc on ne va pas hiĂ©rarchiser les gens selon que ton sexe est fĂ©minin masculin ou non genrĂ© on va considĂ©rer les humains selon qu'ils sont tout simplement humains mais vous qui nous avez dit nos valeurs africaines oĂč sont donc passĂ©es ces valeurs africaines je ne connais pas ces valeurs africaines qui demandent Ă  un homme de nier ses valeurs de nier son identitĂ© et bien pour plaire Ă  un autre homme je ne connait pas ces valeurs africaines qu'on me les sortent dans la communautĂ© F oĂč j'ai grandi un homme non seulement il baisse pas ses yeux quand il parle Ă  un autre mais en plus de cela il assume ses responsabilitĂ©s il assume ses responsabilitĂ©s c'est-Ă -dire quoi c'est-Ă -dire que s'il a soutenu alibongo hier et qu'aliib Bongo tombe il doit d'abord ĂȘtre au cĂŽtĂ© d'aliibongo Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre au cĂŽtĂ© d'aliibongo il s'efface Ă  faut de s'effacer il va au front se battre pour ce pourquoi il s'est battu hier au cĂŽtĂ© d'aliibongo sauf s'il a Ă©tĂ© au cĂŽtĂ© d'aliibongo sans conviction sauf s'il a Ă©tĂ© au cĂŽtĂ© d'Ali Bongo qu' simple petit valet de service et qui donc constate d'avoir perdu sa virilitĂ© parce qu'un homme dans nos coutumes dans nos traditions je ne sais pas s'il y a des Ethis au Gabon masculinisĂ© oĂč la misogynie c'est un peu fait remarquer qui serait de nature Ă  laisser les hommes baisser leur froc je ne sais pas s'il y en a ça n'existe pas au Gabon donc ce qui existe au Gabon c'est en rĂ©alitĂ© et bien ce pouvoir qu'on nous a longtemps F masculinisĂ© et aujourd'hui on se rend compte excusez-moi cher mien de ce que je vais dire que plusieurs hommes au sens considĂ©ration de pouvoir africain gabonais du terme plusieurs hommes se sont homeltisĂ©s ce sont devenus des omelettes ce ne sont plus des hommes qui revendiquent une part ne serait-ce que de leur virilitĂ© qui interdit de courber les chines qui interdit et bien de se soumettre ne serait-ce que traditionnellement vous ĂȘtes incapable de vous revendiquer ce que vous ĂȘtes vous ĂȘtes incapable de vous revendiquer ce que vous avez Ă©tĂ© au point de porter atteinte Ă  la RĂ©publique d' pĂ©naliser les attentats et les constitutionnaliser en faire une valeur gabonaise comment on fait ça comment on fait ça j'ai envie de comprendre j'ai envie de savoir comment on en arrive lĂ  comment vous avez escroquĂ© le peuple gabonais toute sa vie Ă  lui faire croire que vous Ă©tiez des dĂ©fenseurs de la RĂ©publique vous Ă©tiez des magistrats vous l'ĂȘtes peut-ĂȘtre dans les papiers mais vous ne l'ĂȘtes pas en rĂ©alitĂ© parce que un magistrat normalement constituĂ© qui est attachĂ© au statut de la magistrature mon Dieu au statut de la magistrature je ne sais pas s'il me faut j jeter un coup d'Ɠil un magistrat attachĂ© au statut de la magistrature ne peut pas se retrouver dans des considĂ©rations qui sont les vĂŽes dans des considĂ©rations qui sont les votes du tout comment on fait comment vous faites ça vous connaissez donc pas le statut de la magistrature les obligations du magistrat mĂȘme en dĂ©tachement vous avez dĂ©missionnĂ© de la magistrature que parce que vous avez Ă©tĂ© premier ministre vous oubliez votre statut et mĂȘme en tant que Premier ministre de la RĂ©publique mais vous ĂȘtes une insulte pour la RĂ©publique vous ĂȘtes une insulte pour le le Gabon de voir que c'est vous aujourd'hui qui voulez automutiler la RĂ©publique vous avez un traitement d'ancien Premier ministre un traitement avec l'argent du contribuable les Gabonais qui cotisent pour que vous on vous traite on vous entretient et le merci que vous pouvez nous faire c'est de demander que les coups d'État soi institutionnalisĂ© on peut ĂȘtre lchebte Ă  ce point mĂȘme les militaires eux-mĂȘmes n'ont pas osĂ© descendre aussi bas mais vous vous vous constiuez au mĂ©pris de ce que vous vous reprĂ©sentez dans ce pays ancien Premier ministre mon Dieu vous vous constituez comme ça LBX des militair vous n'avez pas honte vous n'avez pas honte de nous offenser Ă  ce point vous n'avez pas honte d'avoir engagĂ© le Gabon par votre signature alors que vous saviez que vous Ă©tiez une imposture vous ne croyez pas Ă  la RĂ©publique mais vous vous ĂȘtes prĂ©valu des institutions de la RĂ©publique vous n'avez donc pas honte on peut lĂ©cher les bottes de quelqu'un comme ça qu' la discussion est ouverte vous ne savez pas qu'il y a des discussions qui qui ne mĂ©rite mĂȘme pas de sortir et surtout pas de vous vous venez faire apologie Ă  un crime un coup d'État est un crime dont les auteurs risquent en cour la perpĂ©tuitĂ© et vous vous venez lĂ  tranquillement sourirol oui oui mes chers compatriotes vous savez il faut mĂȘme que je mette les lunettes peut-ĂȘtre pour mieux vous reprĂ©senter vous savez c'est trĂšs trĂšs bien c'est pas possible on va pas ĂȘtre s sĂ©rieux dans ce pays de 2 secondes on va pas ĂȘtre sĂ©rieux dans ce pays 2 secondes c'est quoi cette abomination c'est quoi ça c'est quoi cette abomination hein comment vous pouvez mĂȘme oser mon Dieu mĂȘme si vous avez envie d'ĂȘtre le lĂšchebot des militaires mais vous ne rendez pas service au militaire c'est vous vous ĂȘtes de vĂ©ritables ennemis du ctiri vous ĂȘtes en train de donner les mauvaises idĂ©es et comme eux aussi n'ont pas la capacitĂ© de leadership qu'il faut c'est-Ă -dire ils n'ont pas le recul nĂ©cessaire ils vont peut-ĂȘtre vous su bĂȘtement les Gabonais vont aller dire il votent pour le pour le comment vous appelez ça pour le rĂ©fĂ©rendum hein je vais faire un peu comme vous oui peuple gabonais vous savez lĂ  on est dans une rĂ©publique et dans la RĂ©publique gabonaise il faut que l'on voit un peu en rĂ©alitĂ© la Constitution vu que c'est interdit que c'est un crime que les militaires et bien euh se retrouvent Ă  commettre des actes euh de coup d'Ă©tat et qu'il risque l'emprisonnement pour cela on dirait que je n'ai plus de connexion ça bug partagez le live mettez les cƓurs s'il vous plaĂźt partagez le live mettez les cƓur partagez le live mettez les cƓurs partagez mettez les cƓurs s'il vous plaĂźt les partagez mettez les cƓurs donc oui peuple gabonais vous savez euh moi j'is ancien Premier ministre de la RĂ©publique gabonaise mon Dieu tout un chef d'un gouvernement aujourd'hui je pense qu'il faut euh enlever peut-ĂȘtre euh l'pĂ©e de damoclesĂšs qui pĂšse sur nos militaires pour que ces derniers ne se retrouvent plus dans une situation naturellement de de de de de crime comme ça on va Ă©crire dans la nouvelle Constitution que et bien le coup d'État est est normal que les militaires peuvent prendre le pouvoir d' l'instant oĂč et bien il on constate que Ă  leur rencontre et bien euh ils ont fait ils ont fait un coup d'Ă©tat toutes les fois que les militaires estimeraient donc ça fait dĂ©jĂ  partie des missions des militaires estimeraient que et bien le peuple gabonais doit ĂȘtre protĂ©gĂ© qui est Azam je suis choquĂ©e je suis choquĂ©e je suis choquĂ©e les attentats deviennent lĂ©gitimĂ©s dans la RĂ©publique gabonaise il faut faire des attentats en RĂ©publique gabonaise c'est normal c'est exactement cela ils font confiance Ă  l'ignorance du peuple je l'ai toujours dit que c'est deux choses dans ce pays de plusieurs sorties que je dĂ©couvre de nos compatriotes soit ils sont eux-mĂȘmes bien ignorants soit ils font confiance Ă  l'ignorance du peuple gabonais mon Dieu mon tĂ©lĂ©phone ça bug ici est-ce que ça bug chez vous ça bug ici est-ce que ça bug chez vous mettez les cƓurs donc franchement on ne peut pas ainsi porter atteinte Ă  la RĂ©publique on ne peut pas si j'avais Ă©tĂ© le procureur de la RĂ©publique j'ouvrirai trĂšs vite vite une enquĂȘte contre vous au-delĂ  d'ouvrir cette enquĂȘte contre vous et bien je vous dĂ©choira de tous vos traitement du fait de votre ancien statut et bien de Premier ministre parce que vous ne le mĂ©ritez pas vous ne mĂ©ritez pas que la RĂ©publique prenent soin de vous vous ĂȘtes une offense Ă  la RĂ©publique vous ĂȘtes une atteinte vous seul vous ĂȘtes constitutive d'une atteinte Ă  la RĂ©publique parce que vous mutier la RĂ©publique vous lui enlevez de toute sa saveur de tout son ĂȘtre de toute son Ăąme une rĂ©publique un coup d'État qui est un acte antionstitutionnel vous voulez en faire un acte constitutionnel ça ne bouge pas chez vous vous voulez en faire un acte constitutionnel mais c'est trop grave c'est trop grave mais vous n'avez jamais donc eu conscience de ce que sont les institutions de la RĂ©publique vous n'avez donc jamais eu conscience de ce qui'est la RĂ©publique gabonaise vous n'avez donc jamais eu conscience de ce que sontam je ne sais pas je suis obligĂ© de m'exclamer enfant parce que c'est trop grave c'est trop grave on ne peut pas baisser son froc comme ça on ne peut pas se permettre ça mon Dieu oĂč est donc passĂ© la virilitĂ© dont vous revendiquez toujours pour exclure les femmes en politique elle est passĂ©e oĂč vous venez faire vos muscles lĂ  que quand il s'agit des femmes et quand c'est entre vous les hommes on ne voit plus vosre virilitĂ©s s'exprimer mon dieu c'est quoi ça Jesus non je suis dĂ©solĂ©e je suis choquĂ©e je ne savais pas que les hommes gabonais PV se rĂ©duire une lĂąchet moi je voudraisose la Constitution que les militair bien constion pluss queos ambitions son vous n'z pas d'ambition il ne peut pas mettre ce genre de chos s'il met ça c'est que lui-mĂȘme il organise mĂȘme s'il se maintenait au pouvoir par force lui-mĂȘme il organise juste aprĂšs lui le coup d'État c'est-Ă -dire que mĂȘme pas 2 secondes de pouvoir dĂšs qu'on finit les Ă©lections il est Ă©lu quelqu'un d'autre lui fait un coup d'État mais vu que vous aurez introduit dans la Constitution que et bien un coup d'État est devenu une valeur de la RĂ©publique gabonaise pourquoi allez-vous donc vous fĂącher on va rester sous le rĂšgne de cette personne tout le temps qu'il voudra bien nous maintenir lĂ  dedans jusqu'Ă  ce qu'un autre lui fera aussi un coup d'État et c'est cette rĂ©publique que vous voulez constituer une rĂ©publique qui va de coup d'État en coup d'Ă©tat vous qui ĂȘtes magistrat donc censĂ© avoir un petit esprit critique censĂ© avoir une petite capacitĂ© d'analyse de recul d'information de recherche vous vous serez rendu compte que malgrĂ© vos tentatives et hontĂ© de lĂ©gitimer un coup d'État de lĂ©gitimer un coup d'Ă©tat vous allez trĂšs vite vous rendre compte et vous apercevoir de ce que mĂȘme l'Union africaine aujourd'hui interdit Ă  tout acteur du coup d'État au-delĂ  des sanctions pĂ©nales de chaque ordre de chaque ordre publicique interdit aux artisans aux acteurs du coup d'État de participer aux Ă©lections qui suivent la pĂ©riode de transition vous le sauriez mais comme vraisemblablement vous n'avez jamais Ă©tĂ© magistrat vous ne l'avez Ă©tĂ© que de nom que sur papier que de prestation mais vous ne l'avez jamais incarnĂ© parce qu'on ne se retrouverait pas Ă  voir de tels propos de votre part des propos qui sont une atteinte inconditionnelle Ă  la RĂ©publique une atteinte impardonnable mĂȘme Ă  la RĂ©publique mais surtout une atteinte Ă  votre statut de la magistrature c'est une honte pas pour vous parce que si vous vous permettez de telles expressions et bien c'est que la honte vous l'avez vendu au chien mais c'est une honte pour nous au nom de qui vous avez signĂ© vous avez rendu la justice gabonaise vous avez signĂ© les documents c'est en are nom que c'est une honte de voir Ă  quelle bassesse alibomo condamnĂ© le Gabon de par des hommes comme vous des individus comme vous c'est une honte je suis de nature Ă  vouloir exprimer toujours beaucoup de respect Ă  des personnes qui ont occupĂ© des des des responsabilitĂ©s dans ce pays au nom du respect dus institutions mais quand vous brisez ces institutions vous les mĂ©prisez vous les piĂ©tinez et vous leur manquez gravement de respect en leur portant atteinte en faisant apologie de leur instinction je ne peux pas ĂȘtre de quelque nature que ce soit d'expression Ă  vous montrer mon respect je vous respecte en tant que simple compatriote point mais j'ai honte Ă  mon Gabon j'ai honte Ă  mon Gabon c'est grave c'est trĂšs grave je suis en train de vous chercher l'article dont je parle partageer le direct en mĂȘme temps c'est trĂšs grave comment on peut tomber si bas mon Dieu alib Bongo qu'est-ce qui t'est arrivĂ© voilĂ  les gens les responsables vous tous vous avez dirigĂ© la haine contre Alibo les vrais responsables les vrais criminels de ce paysl ce sont les juliens enc cal ce sont eux qui ont dĂ©tournĂ© nos fonds ce sont eux qui ont tuĂ© ce pays comme il est lĂ  parce que si on peut se permettre d'avoir de telles expressions d'une lĂ©gĂšretĂ© criminelle et bien c'est qu'on a pu faire pire on a on a pu faire bien pire mĂȘme j'ai trouver le texte je vais vous en faire lecture charte africaine de la dĂ©mocratie des Ă©lections et de la gouvernance charte africaine de la dĂ©mocratie des Ă©lections et de la gouvernance article 25 c'est ce qui nous intĂ©resse si le Conseil de paix et de sĂ©curitĂ© constate qu'il y a eu un changement anticonstitutionnel de gouvernement dans un Ă©tat parti et que les initiatives diplomatiques ont Ă©chouĂ© il prend la dĂ©cision de suspendre les droits de participation de l'État parti concernĂ© aux activitĂ©s de l'Union en en vertu des dispositions des articles 30 de l'acte constitutif et 7 du protocole la suspenstion prend immĂ©diatement effit est-ce que vous m'entendez cependant l'Ă©tat parti suspendu est tenu de continuer Ă  honorer ses obligations vis-Ă -vis de l'Union en particulier celle relative au respect des droits de l'homme vous qui dites souvent oui nous sommes dans une situation exception le Gabon est contraint Ă  continuer mĂȘme sous un coup d'État sous une transition Ă  respecter les droits de l'homme est-ce que vous le comprenez qui est lĂ  on continue nonobstant la suspension de l'État parti concernĂ© l'Union maintient excusez-moi on dirais qu'il y a quelqu'un il y a quelqu'un il y a quelqu'un vous pensez qu'on peut tout faire et faire ce que l'on veut il faut arrĂȘter le dĂ©sordre excusez-moi des mouvements Ă  gauche Ă  droite lĂ  je dois m'assurer de ma petite sĂ©curitĂ© donc on en Ă©tait au petit 4 petit 3 nonobstant la suspension de l'État l'Ă©tat parti concernĂ© le Gabon est parti Ă  l'Union africaine donc concernĂ© par cette histoire aussi l'Union maintient ses relations diplomatiqu et prend toute initiative afin de rĂ©tablir la dĂ©mocratie dans les dans le 10 Ă©tat parti vous qui pensez toujours que oui mais on a vu le PrĂ©sident de la Transition aller Ă  gauche aller Ă  droite nanani nanana on a vu telles autoritĂ©s l'Union africaine venir au Gabon ça veut dire que le Gabon n'est plus suspendu le Gabon est toujours suspendu partagez le direct le Gabon est toujours suspendu Ă  l'Union africaine et c'est l'Union africaine qui coiffe toutes les autres unions sous-rĂ©gionales Centrafrique les pays de la de la de la Centrafrique les ouest c'est l'Union africaine qui coiffe tout ça pour l'instant le Gabon est suspendu et le le petit 3 ou la LinĂ©a 3 de l'article 25 dispose justement de ce que nonobstant la suspension de l'État en dehors du fait que l'État soit suspendu l'Union maintient sur diplomatique et prendre toute initiative afin de rĂ©tablir la dĂ©mocratie dans le 10 Ă©tat parti 4e alinĂ©a les auteurs de changement anticonstitutionnel de gouvernement ne doivent ni participer aux Ă©lections organisĂ©es pour la restitution de l'ordre dĂ©mocratique ni occuper des postes de responsabilitĂ© dans dans les institutions politiques de leurs Ă©tats est-ce que vous avez compris donc conformĂ©ment Ă  la charte qui lit le Gabon qui lit les pouvoirs publics gabonais oligi ne pourra pas se prĂ©senter aprĂšs cette transition c'est Ă©crit ici noir sur blanc je continue Ă  vous lire les auteurs de changement anticonstitutionnel de gouvernement peuvent ĂȘtre traduit devant la juridiction compĂ©tente de l'Union EUR de l'Union africaine la confĂ©rence impose des sanctions Ă  l'encontre de tout Ă©tat parti qui fumment ou soutient un changement antionstitutionnel de gouvernement dans un autre État et ce en vertu des dispositions de l'article 23 de l'acte constitutif de l'Union africaine la confĂ©rence peut dĂ©cider d'appliquer d'autres formes de sanction Ă  l'encontre des auteurs de changement antionstitutionnel de gouvernement y compris des sanctions Ă©conomiques les Ă©tats partis ne doivent ni accueillir ni accorder l'asile aux auteurs de changement antionstitutionnel de gouvernement les Ă©tats partis jugent les auteurs de changement antionstitutionnel de gouvernement oĂč prennent les mesures qui s'imposent en vue de leur extradition effective c'est-Ă -dire que si aprĂšs la pĂ©riode de la transition lĂ  olig se maintenir au pouvoir et qu'il y a un soulĂšvement populaire et que l'ordre international intervient l'Union africaine lui avec les casques bleus et tout dont il a en partenariat avec le monde international intervient dans ce pays-lĂ  si les auteurs veulent maintenant fuir le pays partout oĂč ils iront se cacher lĂ  ce pays a l'obligation de les attraper de l'extrader au Gabon pour qu'il rĂ©pondre de leurs actes ici parce que vous faites toujours les choses et vous faites comme si en fait vous avez le le droit de tout faire non le crime n'est pas autorisĂ© les crime le crime n'est pas autorisĂ© c'est souvent que les gens se taisent les gens profitent du ralbol du peuple et font croire qu'il y a adhĂ©sion totale luoui il y a eu adhĂ©sion peut-ĂȘtre au dĂ©but du coup d'État mais aujourd'hui il y a plus adhĂ©sion c'est pour cela que nous n'allons pas aller Ă  ce rĂ©fĂ©rendum c'est pour cela que nous n'allons pas voter ce rĂ©fĂ©rendom parce que tout ce qui se fait contre nous par des gens illĂ©gitimes qui n'ont aucune qualitĂ© Ă  nous reprĂ©senter qui ne jouissent d'aucune souverainetĂ© ne peut pas ĂȘtre de nature Ă  dĂ©cider de notre avenir et d'autant plus si les conditions des textes prĂ©vu sont de nature Ă  ĂȘtre une atteinte Ă  la Charte Africaine de la dĂ©mocratie et justement et des Ă©lections en Afrique vous ne vouliez pas que les europĂ©ens viennent se mĂȘler de vos choses les africains se sont assis ils ont dĂ©cidĂ© des choses il faut maintenant les respecter pourquoi vous ne respectez pas ça c'est l'article 25 je vais tĂ©lĂ©charger le document et je vais capturer l'article je vais vous le publier il faut arrĂȘter le dĂ©sordre donc je vois vos appels Laurence elle a fait au mĂ©pris de cette disposition lĂ  appel Ă  la candidature de bristeringema en France mĂȘme comment quelqu'un qui a toujours prĂ©tendu dĂ©fendre la RĂ©publique ou dĂ©fendre ne serait-ce que les institutions en encore qu'elle a toujours fait la promotion des coups d'État elle on peut comprendre conviction rĂ©publicaine zĂ©ro ccient donc on peut comprendre mais comme elle a toujours fait vous semblit faire la promotion de l'Afrique et de l'Union africaine mĂȘme si elle les a toujours traitĂ© de de supp de la France et bien elle n'a pas eu le temps d'aller lire cette disposition cette disposition qui est pourtant complĂšte les Ă©tats partis 9Ăšement les Ă©tats parti juge les auteurs de changement anticonstitutionnel de gouvernement ou prennent les mesures qui s'imposent en vue de leur extradition je l'avais lu effective les Ă©tats partis encouragent la signature d'accords bilatĂ©raux ainsi que l'adoption d'instruments juridiques sur l'extradition et l'entraite judiciaire article 26 le Conseil de paix et de sĂ©curitĂ© lĂšve les sanctions dĂšs que la situation qui a motivĂ© la suspension est rĂ©solue donc tant que nous sommes en pĂ©riode de transition le Gabon ne peut pas ĂȘtre bien Ă©videmment relevĂ© de sa suspension nous sommes suspendus quoi qu'on veille vous faire croire c'est pas parce que le prĂ©sident va Ă  gauche va Ă  droite fait les photos souris avec les chefs d'État internationaux que ça veut dire vous avez lu lĂ  l'article je ne sais pas s'il faut vous il faut vous le relire vous avez lu l'article charte africaine de la dĂ©mocratie des Ă©lections et de la gouvernance cette charte lit le Gabon lit tous les États membres sauf si le Gabon pour faire passer au Lig candidat dĂ©cide de sortir de l'Union africaine et de devenir un Ă©tat Ă  part ou de rentrer dans l'Union europĂ©enne et si le Gabon venait Ă  rentrer dans l'Union europĂ©enne peut-ĂȘtre lĂ  encore mĂȘme l'Ukraine n'y arrive pas c'est pas le Gabon qui est hors territoire europĂ©en qui se retrouvera du jour au lendemain pour Ă© pays europĂ©en sauf si il faisait fusion absortion avec la France pour dire que je suis dĂ©jĂ  un Ă©tat de France auquel cas Macron viendrait nommer oligi reprĂ©sentant du dĂ©partement français Gabon mais l'Ă©tat actuel des choses tant que le Gabon reste Gabon et que le Gabon est Ă©tat parti de l'Union europĂ©enne le Gabon ne peut pas laisserig se prĂ©senter contrairement au vomissur de Julien gorbe contrairement sal de la RĂ©publique peut pas se prĂ©senter arĂȘ de il faut en la vĂ©ritĂ© il ne peut pas se prĂ©senter sa si je le rĂ©pĂšte vous dĂ©ciz dans votre petit coin que paraujourd'hui le Gabon de l'Union africaine mais si gaboneunion africain pe pas prĂ©senter au Ă©lection je vois Jean-François don ancien porte-parole d'alternance 2023 dire jouir d'une d'une hypocrisie sans pareil que et bien vous savez le prĂ©sident de la transition n'a pas encore dĂ©clarĂ© sa candidature donc on ne peut pas se positionner lĂ -dessus on vous dit vous avez Ă©crit dans vos recommandations dans le projet de Constitution que seul lui peut se prĂ©senter par les autres vous regressez les moi je ne me sens pas concernĂ© par vos histoires de la Constitution que vous voulez faire adopter parce que j'ai moins de 35 ans malheureusement et allez mettre que pour toutes les personnes qui ont moins de 35 ans vous ne pouvez plus vous prĂ©senter alors que notre Constitution jusqu'en 2023 prĂ©voyit dĂ©jĂ  que tout gabonais jouissant de ces droits civil CIVI et Politi puiss se prĂ©senter la majoritĂ© qui est Ă  21 ans et bien je me vois mal comment moi je vais accepter d'aller voter le rĂ©fĂ©rendum qui me prive de mes droits absolus le droit de me prĂ©senter Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle je l'ai je suis une citoyenne gabonaise je ne suis pas moins citoyenne que qui que ce soit d'entre vous au contraire mĂȘme j'ai beaucoup plus de mĂ©rite Ă  incarner la RĂ©publique beaucoup d'entre vous donc que qui que ce soit ne me per m ne m'empĂȘche je veux dire de jouir de ma pleine citoyennetĂ© que il faut maintenant avoir 35 ans pour ĂȘtre candidat qu' il faut dĂ©jĂ  avoir 70 ans ça va pas dans vos tĂȘtes ça ne va pas cette loi ne met pas rĂ©troactive vous savez il y a l'interdiction de la rĂ©troactivitĂ© de la loi pĂ©nale plus sĂ©vĂšre c'est quoi une de la loi pas que pĂ©nale de la loi tout simplement de la loi plus sĂ©vĂšre c'est-Ă -dire les lois qui viennent durcir les conditions ne sont pas rĂ©troactives dĂšs l'instant que certains avaient dĂ©jĂ  accĂ©dĂ© Ă  ces droits j'avais dĂ©jĂ  le droit en 2023 de me prĂ©senter au prĂ©sidentiel donc aucune loi d'aujourd'hui ne peut pas venir m'empĂȘcher mĂȘme si elle est constitutionnelle d'accĂ©der Ă  ma citoyennetĂ© on vous a dit que mĂȘme sous le coup d'État il faut respecter les droits humains et le droit d'ĂȘtre Ă©lecteur et de se faire Ă©lire est un droit absolu dĂšs l'instant que tu peux ĂȘtre le lecteur tu peux te faire Ă©lire c'est un droit qui va en pĂš ça ne va pas dans un sens si tu peux Ă©lire tu peux aussi ĂȘtre Ă©lu il n'y a pas que tu peux seulement Ă©lire mais tu ne peux pas ĂȘtre Ă©lu c'est un droit Ă  double sens si j'ai l'Ăąge delire je suis en Ăąge d'ĂȘtre Ă©lu c'est comme cela que ça fonctionne donc vous ne pouvez pas venir pour dire au gabonais que oui vous savez on va dĂ©cider dans la Constitution entre deux trois canes parce que les vrais cancres c'est vous qu'on voit aujourd'hui hier vous disiez que les cancres c'Ă©tait les pĂ©dĂ©gistes mais la qualitĂ© de cancre des anciens opposants devenus cĂ©ist ligotĂ© d'aujourd'hui je je ne comprends pas le degrĂ© de cancre de cancre lĂ  ou cancretĂ© lĂ  mĂȘme les pĂ©dgistes n'avaient pas at ça les pĂ©dgistes d'hier n'avait pas atteint ça donc chers compatriotes il faut vous revoir il faut vous revoir je vais vous faire une derniĂšre fois la lecture de l'article qui dispose de la Charte Africaine de la dĂ©mocratie et de la gouvernance qui vous empĂȘche qui empĂȘche au liigi de se prĂ©senter aux Ă©lections prĂ©sidentielles sauf si vous veniez Ă  sortir de l'Union africaine je ne parle pas de la CAC hein les histoires de la CMAC c'est encore en de l'Union africaine parce que c'est l'Union africaine qui parle au nom de toute l'Afrique devant toute la communautĂ© internationale donc n'allez pas penser que vos petits arrangements de derriĂšre la maison que vous pouvez faire entre temps dans l'AC lĂ  et bien vont ĂȘtre sans contrĂŽle de l'Union africaine donc je vous fais lecture de cet article 25 si le conseil au cas oĂč il survient c'est d'abord l'article 24 que je voudrais vous lire c'est mĂȘme pas l'article 24 je commence Ă  l'article 23 c'est chapitre 8 des sanctions en cas de changement anticonstitutionnel de gouvernement article 23 les Ă©tats partis conviennent que l'utilisation entre autres des moyens si aprĂšs pour accĂ©der ou se maintenir au pouvoir constitue un changement antionstitutionnel de gouvernement et est passible de sanction appropriĂ© par de la part de l'Union africaine tout PCH ou coup d'État contre un gouvernement dĂ©mocratiquement Ă©lu toute intervention de mercenaires pour renverser un gouvernement dĂ©mocratiquement Ă©lu toute intervention de groupe dissidents armĂ© ou de mouvement rebelles pour renverser un gouvernement dĂ©mocratiquement Ă©lu tout refus par un gouvernement en place de remettre le pouvoir au partis ou au candidat vainqueur Ă  l'issue d'Ă©lections libre juste et rĂ©guliĂšre tout amendement ou toute rĂ©vision des constitutions ou des instruments juridiques qui portent atteinte au principe de l'alternance dĂ©mocratique article 24 au cas oĂč il survient dans un Ă©tat parti une situation susceptible de compromettre l'Ă©volution de son processus politique et institutionnel dĂ©mocratique oĂč l'exercice lĂ©gitime du pouvoir le Conseil de paix et de sĂ©curitĂ© exerce ses responsabilitĂ©s pour maintenir l'ordre constitutionnel conformĂ©ment aux dispositions pertinentes du protocole relatif Ă  la crĂ©ation du Conseil de paix et de sĂ©curitĂ© de l'Union africaine si aprĂšs dĂ©nommer le protocole article 25 donc ça veut dire l'intervention de la force militaire si oligi veut se maintener finalement au pouvoir que on arrive au terme de la transition il ne veut pas partir oĂč il veut se prĂ©senter Ă  tout prix et bien l'Union africaine peut intervenir militairement aussi est-ce que vous comprenez ça il faut arrĂȘter d'endormir le peuple gabonais et nous faire prĂ©sager des avenir qui peuvent ĂȘtre de nature Ă  nous condamner dans des situations d'une extrĂȘme vulnĂ©rabilitĂ© qui rĂ©duirait le peuple gabonais Ă  zĂ©ro au ccient article 25 si le Conseil de paix et de sĂ©curitĂ© constate qu'il y a eu changement anticonstitutionnel de gouvernement dans un Ă©tat parti le Gabon est un Ă©tat parti et que les initiatives diplomatiques ont Ă©chouĂ© il prend la dĂ©cision de suspendre les droits de participation de l'État parti concernĂ© aux activitĂ©s de l'Union en vertu des dispositions des articles 30 de l'acte constitutif et C du protocole la suspension prend immĂ©diatement effet cependant l'Ă©tat parti suspendu est tenu de continuer Ă  honorer ses obligations vis-Ă -vis de l'Union payer ses contributions nanani nanana en particulier celle relative au respect des droits de l'homme oui si il y a violation des droits de l'homme on peut se prĂ©valoir devant la Cour europĂ©enne la Cour africaine Ă  la Cour europĂ©enne la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples pour condamner et les auteurs et l'État gabonais donc nonobstant la suspension de l'État partie concernĂ© l'Union maintient ses relations diplomatiques et prend toute initiative afin d'Ă©tablir la de rĂ©tablir la dĂ©mocratie dans le dit Ă©tat parti les auteurs de changement anticonstitutionnel de gouvernement les pistes ne doivent ni ou les les faiseurs de coup de libertĂ© ou de libĂ©ration comme vous les appelez en tout cas c'est un changement anticonstitutionnel merci Ă  Julien corbecal de l'avoir au moins reconnu au-delĂ  de votre volontĂ© Ă  vouloir en faire une valeur rĂ©publicaine dans notre Constitution Ă  qu enccal donc les auteurs de changement antionstitutionnel de gouvernement ne doivent ni participer aux Ă©lections organisĂ©es pour la restitution de l'ordre dĂ©mocratique ni occuper despes Ă  responsabilitĂ© dans les institutions politiques de leur Ă©tat c'est-Ă -dire que tout tous ceux qui sont dans le CTRI lĂ  tous ceux qui ont fait le coup d'État aprĂšs la transition vous ne devez pas faire partie des postes de ministres et ceter parce que ce sont les postes politiques parce que vous avez portĂ© gravement atteinte Ă  l'ordre constitutionnel vous avez portĂ© ratteinte c'est pour cela que dans le code pĂ©nal c'est un crime qui fait encourir les auteurs une perpĂ©tuitĂ© et Julien corbeekal vient dire il faut dĂ©pĂ©naliser Julien corbeekal ancien magistrat prier ministre de la RĂ©publique gabonaise vient dire il faut le mettre dans la Constitution aprĂšs avoirpĂ©nalis lesurs de chtitution de gouvernement ne doiv participer au Ă©lection il faut c'est de l'article 25 de la chatte africaine pour la dĂ©mocratie et justement l'organisation des institutions donc peuple gabounais s'il vous plaĂźt arrĂȘtons de sombrer dans l'ignorance arrĂȘtons de nous faire manipuler par les les perfil de trompeur arrĂȘtons cela ils ont longtemps profitĂ© de l'ignorance des masses en nous inoculant de mensonge c'est pour cela que la politique est devenue banale dans ce pays c'est pour pour cela que pour nos parents dans les villages quand on te dit au politique ça veut tout simplement dire ne viens pas me mentir parce que des acteurs politiques dans ce pays n'ont Ă©tĂ© que des des menteurs n'ont Ă©tĂ© bien Ă©videmment que que que que que comment vous le dire des manipulateurs des pervers narcissiques mĂȘme en condamnant le peuple Ă  son ignorance mais si je fouille encore bien le code pĂ©nal je vais nous trouver dedans une petite pĂ©pite qui nous parle de l'AB de l'Ă©tat d'ignorance des gens on peut vous poursuivre en justice pour abuser de l'Ă©tat d'ignorance d'une bonne partie du peuple gabonais Ă  lui faire inoculer tout et n'importe quoi parce que en incapacitĂ© de se dĂ©fendre vous abusez vous ĂȘtes le mal de ce pays on va vous mettre de cĂŽtĂ© je prĂ©fĂšre quelqu'un qui assume ses responsabilitĂ©s qui tient bien sa ceinture qui ne descend pas son froc pour ainsi se constituer esclave de qui que ce soit se soumettre vous voyez que vos arguments d' temp qui disait queoh le pouvoir est masculin c'est la masculinitĂ© c'est sont tombĂ©s demain vous allez avoir une prĂ©sident de la RĂ©publique femme qui incarnera le vĂ©ritable pouvoir pas un pouvoir qui tremble pas un pouvoir qui baisse son froc un vrai pouvoir qui restaure en rĂ©alitĂ© la dignitĂ© du peuple gabonais et des Gabonais un un pouvoir qui restaure enfin la RĂ©publique pas de belles paroles que vous nous avez chantĂ© le 30 aoĂ»t et donc tous vous avez Ă©tĂ© des artisant de l'expression de tout leur contraire et c'est incroyable de vous dĂ©couvrir Ă  l'air du CIE de si peu de valeur de si peu de conviction de ce dĂ©faut criarde mĂȘme de conviction on peut pas dire cle c'est incroyable donc je relis que cet article 4 les auteur de changement anticonstitutionnel qu'on appelle coup d'État le gouvernement ne doivent ni participer aux Ă©lections organisĂ© pour la raison la restitution de l'ordre dĂ©mocratique ni occupe vous m'avez fait mal parce que vous avez fait mal Ă  mon Gabon quand je me rends compte qu'il y a des actes qui ont engagĂ© ma vie qui ont engagĂ© la vie de mes enfants de mes petits-enfants qui ont Ă©tĂ© signĂ©s par vous j'ai honte Ă  mon Gabon et j'ai mal Ă  mon Gabon ce genre de propos ne sont pas des propos qui peuvent rentrer en en consĂ©cration de ce qu'on appelle une opinion politique ce sont des actes qui sont criminels parce que lĂ  vous faites apologie au crime et l'apologie au crime est un dĂ©lit vous commettez le dĂ©lit d'apologie au crime d'apologie Ă  l'attentat si je fouille bien dans ce texte lĂ  on va trouver cela l'apologie Ă  l'attentat mon Dieu ancien Premier ministre de la RĂ©publique vous avez portĂ© notre nom au nom du peuple gabonais vous avez pris des dĂ©cisions au nom du peuple gabonais vous avez rendu justice en tant que magistrat vous avez prĂȘtĂ© serment de dĂ©fendre la RĂ©publique et vous venez ainsi vous exprimez d'une amputation Ă  la RĂ©publique j'ai mal Ă  mon Gabon franchement heureusement que en fait votre sortie m'a dĂ©cidĂ© je vais m'engager en politique bientĂŽt lĂ  dans les jours qui suivent je vais crĂ©er mon mouvement ensemble la RĂ©publique et pour la RĂ©publique on va le poiner vous m'avez dĂ©cidĂ© parce que vous m'avez convaincu que si on laisse Gabon dans vos mains vos sales mains vos mains qui pu les meurtrur du Gabon et bien on va constater la condamnation pour nos enfants de ce pays Ă  perpĂ©tuitĂ© vous allez dĂ©pĂ©naliser l'attentat qui fait encourir les auteurs la perpĂ©tuitĂ© en condamnant nous peuple gabonais Ă  la misĂšre Ă  perpĂ©tuitĂ© je ne peux pas ĂȘtre comptable de cela si je dois mourir pour ça je mourrai si je dois aller en prison pour ça j'irit en prison on vous a trop laissĂ© faire Ă  cause de la peur la peur de se retrouver en prison la peur de se retrouver tuer le matin on ne va plus vous laisser faire vous avez fait votreab bisme pendant longtemps maintenant on va vous montrer c'est quoi la vraie politique on va vous montrer c'est quoi le vrai patriotisme c'est quoi de dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de la nation c'est quoi une rĂ©publique et c'est quoi se revendiquer cette rĂ©publique vous ĂȘtes une honte pour la nation gabonaise vous ĂȘtes une honte pour la RĂ©publique gabonaise vous me faites honte en tant que magistrat et Ă  partir d'aujourd'hui merci de m'avoir dĂ©terminĂ© enfin parce que quand la situation devient grave on finit par son

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