Sept fusillades en moins d'un mois, à Grenoble, la guerre des gangs fait rage

et pendant ce temps à Grenoble la multiplication des fusillades sur fond de trafic de drogue exaspère les habitants et inquiète les autorités 7 en moins d'un mois plusieurs quartiers concernés jusqu'au centr-ville qui n'est lui-même plus à l'abri le procureur de la République parle d'une guerre des gangs intense l'opération placnet contre la drogue tarde à produire des effets visibles c'est le sentiment des grenoblois qui a rencontré la correspondante de Repin en auvergn ronalp Noémi Loisel reportage sur la place Saint-Bruno à quelqu pas des guetteteurs cette mère de famille qui préfère rester anonyme par porort de représaille craint une nouvelle fusillade installée dans le quartier depuis seulement 8 mois elle veut déjà déménager on a très peur de sortir surtout on a très peur pour nos enfants à tout moment on peut se prendre une balle on reste quand même sur nos gardes un quotidien devenu angoissant aussi pour cette commerçante qui garde toujours sa bombe laacrymogène il y a quelques mois elle a assisté à un règlement de compte devant tout le monde j'ai vu des individus arriver en trtinet ils étaient cagoulés ils l'ont mis à terre et ils l'ont massacré sous mes yeux pour lutter contre le trafic de drogue depuis 2020 la cafe de l'isire en lien avec le le parquet de Grenoble supprime ou réduit les allocations familiales au dealur condamné une mesure nécessaire mais jugé insuffisante il y a des gens qui sont absolument pas concerné par ce dispositif parce qu'ils sont hors circuit depuis plusieurs semaines la présence policière est renforcée mais le trafic continue explique un locataire communique en criant pour s'avertir si la police arrive sur la place dans les minutes qui suivent leur départ la vie reprend selon Yannick bianqueri secrétaire départemental du syndicat Alliance police nationale de l'iser il manque au minimum àrenoble 115 policiers pour être présent dans tout tous les quartiers sens cibles Grenoble Noémi Loisel europin