Jean-Louis Michaud - para-tir

[Musique] [Applaudissements] [Musique] [Musique] je me suis engagé au 7e bâon chasseur alpin en novembre 2000 et lors de ma dernière mission en Afghanistan le 11 avril 2011 j'ai sauté sur une mine antipersonnel sur les hauteurs d'alaille repris le travail très rapidement en 2012 j'ai fait instructeur de tir j'ai passé mon a monitorage j'ai basculé au bureau des sport puis j'ai entamé une carrière d'abord de footballeur avec l'équipe française de football pour amputer donc on joue en béqu sur une jambe et j'ai fait deux Coupes du Monde de coupes d'Europe avec eux j'ai choisi de me lancer aussi dans le tir comme c'est ma deuxième passion donc le foot c'est ma passion d'enfant tout le temps et le tir c'est la passion que m'a inculqué l'armée en fait j'ai très vite été performant cet outil en fait c'est pour passer les boutons parce que sinon c'est hyper dur en fait à les passer à la main ce qui évite aussi d'abîmer la veste si on tirait sans cet équipement là on perdrait en stabilité ça serait hyper compliqué de de faire des gros dis quoi je tire qure disciplines 2 à 10 m 2 à 50 m le plus difficile dans cette discipline c'est de tenir en fait dans la durée et de répéter tout le temps les mêmes choses sans être perturbé par le son parce qu'il y a de la musique ou par quelqu'un qui parle c'est être dans sa bulle et pas sortir de ça les valides eu il tirent debout comme ça moi par exemple si je vais trop comme ça je vais je vais perdre l'équilibre donc du coup nous on tire avec un siège et voilà je me mets comme ça donc là et après j'ai ma carabine là donc après j'ai juste en fait le bassin la hanche en fait à gérer ma jambe me gêne pas c'est la différence entre nous enfin entre mon handicap à moi parce que on a d'autres handicaps he dans le dans le paratir et les valides du coup là en fait le le plus important déjà c'est le placement du siège par rapport à la cible pour être bien centré ce qui est important c'est de bien respirer pour bien se relâcher