"Azadi" (Liberté): combat suprême de l'athlète Marzieh Hamidi

12e édition du festival photo l'œil urbain fait la Parbelle au sport comme arme politique ou écologique focus sur le travail d'Amandine laorol et sa série Azadi ça veut dire liberté en persant la photographe a notamment suivi la championne afghane de taekwendo marziier à midi réfugié en France depuis le retour au pouvoir à Kabou des talibans une jeune femme qui reprend goût à la liberté et qui espère gagner son ticket pour cesjio reportage Pascal acha elle a délaissé le temps de quelques heures ses entraînements quotidiens pour ne rien rater de l'installation de la série photo qui lui est consacrée ça me fait vraiment du bien en tant que femme afghane de montrer au public différents visages et notamment tous mes combats ça c'est ma photo favorite parce que regardez on peut voir mon tatouage ici c'est écrit osé ça signifie oser rêver oser combattre oser choisir et oser être différente et ça c'est moi une jeune championne afghane de taekwendo réfugiée en France depuis le retour au pouvoir des talibans qui savoure sa liberté tout en luttant pour faire entendre la voix des femmes de son pays de multiples facettes que la photographe Amandine l'orriol qui a accompagné marzier à midi pendant un an désirer montrer ce que j'ai beaucoup aimé chez chez marier c'est qu'elle avait ce côté trois facettes il y a effectivement la partie sport qui était qui était notre point commun d'ailleurs puisque moi aussi je viens du domaine du taekwandoo en fait elle avait vraiment ces trois facettes entre la combattante au taekwandoo la combattante dans la vie et cette jeune femme qui se découvre et qui prend plaisir à être qui elle est entièrement j'aime la liberté que j'ai ici c'est ce que j'apprécie beaucoup je suis libre je peux être une athlète je peux être qui je veux en fait et cette liberté elle est c'est mon combat quotidien même quand jeais en afanist la jeune femme de 21 ans est sur tous les fronts la toute première photo prise par Amandine l'orol montre marier déterminé brandissant le drapeau afghan le 8 mars 2023 pour la journée internationale des droits des femmes nous marchions pour les femmes afghanes onit tous qu'il y en a parê dans mon pays les femmes sont enfermées leurs droits sont baoués et plus personne nen parle l'activiste multiplie les prises de parole pour plaider la cause des Afghanes puise son énergie entre amis et avec une partie de sa famille exilé en Allemagne l'athlète aussi s'entraîne avec acharnement auprès de l'équipe de France objectif décrocher en mai prochain son ticket pour les Jeux Olympiques et combattre sous la bannière des réfugiés la première année quand je suis arrivé à Paris et que j'allais en compétition je me demandais à quoi ça servait de me battre mon mon pays est rayé de la carte je me posais tout un tas de mauvaises questions mon esprit était ailleurs à cause des talibans de ce qu'ils ont fait de ce qu'ils font encore aux femmes de mon pays je l'ai vu de mes propres yeux aujourd'hui mon rêve c'est de devenir une championne olympique mais je ne veux pas être qu'une athlète qui gagne une médaille je veux aussi être celle qui agit pour que le sort des femmes change en afghanistanidi regarde aujourd'huioit ant prête au combat pour que son pays sorte enfin de l'obscurité on connaît la sélection