j'ai retrouvé cette ce feeling en fait c ce plaisir de pouvoir de pouvoir que les flèches partent et que qu'elle arrive où j'ai visé quoi pour moi il il y avait pas de sport de compétition et de haut niveau dans un corps qui fonctionne pas à 100 % en fait donc c'était quelque chose pour moi qui qui qui était pas qui était pas du tout euh dans l'air du temps en fait et puis j'avais peur aussi peut-être de la frustration en fait parce que j'allais pas avoir le même niveau de performance et donc quelque part j'avais ça aussi et est arrivé la nomination des jeux de de Paris donc je me suis dit là il y a peut-être quand même quelque chose à faire on est bon [Musique] tu la reculer la reculer puis la lever un [Musique] peu j'ai vite compris que mon corps en fait fonctionnait plus de la même façon en terme de fatigabilité alors non seulement d à la tétraplégie mais aussi à l'âge aussi sachant que j'ai j'ai 50 ans donc il a fallu adapter les entraînements les diminuer et puis mais tout en conservant une une volonté de de performance et de d'adaptabilité vraiment c'est vraiment le terme à partir du moment où des projunessent et en plus on se LVE pour ça donc quelque part c'est les choses deviennent beaucoup plus le handicap devient presque invisible entre moi je me je me lève pas le matin en disant j'espère j'espère pouvoir marcher où j'espère bouger mes doigts évidemment si ça arrive je vais prendre mais mais non j c'est pas ce que j'espère en fait donc ce projet olympique et d'autant plus me prend me prend énormément me prend la nuit quand j'y rêve quand le matin quand je me lève et le soir quand je m couche quoi