Val d'Oust. Les députés du groupe LIOt auprès des agriculteurs

[Musique] ion descom euh donc berfand Pancher est notre président groupe qui est député de la Meuse donc la me aussi un département agricole donc et doncac la circonscription ancien agriculteur aussi donc on a on a une appétence vis-à-vis de l'agriculture et on pense que c'est un un secteur très important pour la vitalité de nos campagnes pour l'importance de la souveraineté alimentaire c'est pas c'est pas quelque chose que l'agriculture c'est pas quelque chose qu'on peut gérer de façon je dirais à la légère c'est une c'est quelque chose qui demande des investissements euh sur du long terme hein ça se fait pas comme ça et c'est tout un un aspect technique euh parce que quand vous avez on en parlait justement une production c'est pas que l'exploitation c'est aussi tout ce qu'il y a derrière c'est-àdire ce qu'il y a en amont et ce qu'il y a en aval et en particulier dans l'aval je pense à la transformation parce que évidemment n nos usines de transformation ne marche que si on a de la maère ça c'est c'est donc quelque chose enfin qui qui paraît particulièrement important au niveau économique au niveau social juste merci pourentation pour l'organisation de la visite ça a été très réactif on a fait un peu la semaine dernière sur les sujets agricoles on a établi notre feuille de route et puis nos propositions je v pas revenir sur ce que tu as dit nous le but aujourd'hui c'était de venir voir vraiment sur le terrain euh voilà des exploant ici on élevage pour discuter de leur problématique parce que évidemment la grogne on la voyait monter depuis un moment chacun sur no territoire je le dis il y a pas une agriculture il y a des agricultures en France avec des enjeux complètement différents il y a des problèmes de fond qui sont c'estlausable à tout le monde le problème de la rémunération de de de la création de valeur dans toute la chaîne de valeur et de tout cap la valeur je CIS que c'est un gros enjeu notamment les Galim on va en reparler et l'agculur sûrement celui qui capte le moins de valeur dans toutes ces chaînes de valeurs c'est plutôt le la partie aval qui capte beaucoup don on a besoin de rééquilibrer tout cela mais aussi c'était de voir parce qu'il y av vra malette qui est d aussi à la difficulté de gérer l'exloitation c'est toutes les démarches administratives c'est tout le côté normatif des fois redondant et éloigné du terrain on l'évoquait les périodes despendage qui sont fixé sur des dates bien établ alors qu'effectivement la météo en Bretagne ben bon je v pas dire qu'il pleut beaucoup plus que dans c'estisme mais évidemment on pourra pas ép certain dat parce que la aussi du bon sens du bon sens vous allez le faire aussi par rapport à la Mét que vous avez et donc on a des g pe TR administratif des fois ONU on l' évoqué sur différents sujets proccupe aussi d'avoir d'aller sur le terrain et d'avoir une démarche plutôt assendante c'està dire arrêtons d'avoir une une gestion très verticale qui descend de l'Europe de Paris et ça arrive sur le territoire et l'ariteur se dit mais qu'est-ce que je fais avec ça ça correspond pas à mes pratiques par contre on pourrait faire quelque chose qui soit aussi vertueux mais peut-être un peu plus intelligent je pense qu'on est un peu dans cette démarche aujourd'hui c'est de venir voir les les agis sur le terrain pour comprendre les ressorts de de le différents problèmes on parlait de la DJA tout à l'heure et de l'absurdité de prévisionn à mettre à jour régulièrement et et de payer à chaque fois pour une mise à jour qui n'apportera rien de plus il d'avoir un dossier qui est administrativement calé mais est-ce qu'on peut pas être un peu plus un peu plus souple là-dessus parce que ce qui importe c'est sont les sont les objectifs c'est que l'agriculteur il vive de son métier qu'il s'en sorte et voilà et aujourd'hui je pense que il y a beaucoup de choses qui se sont mêlé dans revendication le problème du je disais la rémunération mais il a aussi le problème de de toutes ces ces normes chargees administrative il sont venus alourir le le métier parce que Agri lui ce qu' importe c'est son père de métier c'est ici chez vous c'est l'élevage l'élevage c'est le c'est le la production de lait ce sont des Pors aussi par ce que j'ai compris tout à l'heure et on a on a je pense que on a un souci de traçabilité de de de normes qui viennent environmentales qui sont tout à fait logiques mais quand je ça à des échelles je dirais plus industrielles qu' partir il y a des gens qui sont chargés de faire de la qualité de faire du sui de la pr ça vous vous êtes tout seul donc vous vous devez être nouer les animaux faire pour extraire le lait vous devez aussi gérer la conta gérer la traçabilité l'application d'énnorme ça fait beaucoup pour des gens qui travaillent seuls qui sont d'exloitation je pense que il faut peut-être réfléchir à tout ça moi je Mo qui travaill aussi dans des boises ass gros il y a des servic qualité qui étaient dédiés à certaines tâches c'est compliqué pour vous demander tout ça parce que les journées que 24 he et je pense que la difficulté elle est là vous avez de nombreuses casquettes exploitant avant l'agriculture se Consac la production agricoleusivement aujourd'hui tout le reste est légitime mais la question de comment on l'oul et comment vous accompagne voilà mon avis derrière comment vous garantion il y a d'autres sujets on est mais accords de librech fa une concurence royale le fait d'avir des clauses miroir sujet sur lequel on travaille j'ai signé j'ai signé proposition de résolution va transmettre àchelle européenne pour que on impose des Cluses miroir et la norme les normes environnemental et sanitaire queon applique en France soit aussi exigé pour les produits qu'on importe en France sinon c'est ça ça crée des véritable diff de coût de production on pe pas être compétitif et de notre côté c'est ça moi je suis très mal à l'aise de demander au directeurs de de respecter les normes environnementales et sanitaires quand on les exige pas des prod con je disais l' jour Mo avec des éleveurs de poulet je moi qui voit le poulet d'Ukraine arrivé sur le marché et des normes différentes je dis est-ce qu'on frait venir les voitures chinoises en Europe qui ne sont pas au standard de sécurité environnementale est-ce que les Français achèter ça non mais mais là il aachète parce que on onose pas parce qu' un gros travail làdessus à FAI tout ça on l'a beaucoup entendu pendant 15 jours pendant les manif agricoles qu'est-ce que vous Group vous pouvez apporter plus la question à l'échelle européenne président parler d'abord d'abord on est des parlementaires du groupe parlementaires ici qui sontèsès expérimentés l'ADN de notre groupe c'est d'être à l'écoute des territoires toujours on est des tous des élus indépendants on a tous été élus sans soutiens de parti politique et on a notre légitimité que parce qu'on écoute nos concitoyens comme Paul généralement quand on est élu on est réélu ça veut dire quand même que N concitoyens nous font confiance une for on écoute on écoute nos concitoyens de il y a pas de majorité à l'Assemblée nationale et par conséquent le gouvernement est obligé de s'appuyer sur des groupes parlementaires comme les nôtres on n'est pas dans l'opposition systématique garde à vous de façon systématique tris on a une loi d'orientation agricole qui arrive qui est une loi d'orientation dans laquelle il y avait rien du tout dans laquelle il y avait même pas la souveraineté alimentaire on réintroduit la souvereté alimentaire et on a vraiment envie de faire en sorte que ce soit une bonne loi agricole pour que ça soit une bonne loi agricole on est à l'écoute des de des professionnels euxmêmes on a été tous sur les rond-points et sur les manifestations agricoles tous David Paul Paul et moi les organisations agricoles les agriculteurs on les écoute au quotidien on est venu aujourd'hui ici parce que ça nous permet d'avoir une bonne aussi synthèse des problèmes on va rencontrer toutes les organisations au salon de l'culture dans 15 jours et on va faire en sorte que les propositions qui sont des propositions du terrain soi dans dans la prochaine loi en terme de simplification en terme de de rapport de force pour les négociation dans le domaine des des prix avec la grande distribution rappelle quand même qu' a des lois égalines qui ont été voté euh qui n'ont pas été appliqué ces 6 derniers mois parce que le message é complètement contradictoire on a dit un moment pouvoir d'achat il faut baisser les prix on se dit bah non maintenant il y a quand même un problème pour que la grande distribution rachè la question la question de la simplification la question destat des des prix la question du soutien au au outils industriels la modernisation et puis également il y aura aussi le débat européen mais si on règle nos problèmes français je pense que l'agriculture sorte ce ces conflits et c'est quandme pas normal que tout le monde soit obligé d'être dans la rue pour pour être écouté essayons de faire en sorte que ces manifestations soient vraiment utile on a une loi cette loi soit bonne pour qu'elle soit bonne il faut qu'on écoute les uns les autres y a un autre aspect mon quel est le finalement vous n demandez qu'est-ce qu'on peut faire et quelle est la plus value du il il y a une chose oui faut parler plus fort donc il y a une chose que nous nous défendons et on aimerait bien que d'autres le défendent c'est cette question de surréglementation aujourd'hui les règles qui sont qui sont faites en fait sont écrites directement dans les ministères à Paris mais ceux qui les applique c'est soit les les fonctionnaires qui sont à la préfecture soit directement les agriculteurs et on voit bien que tant que ceux qui font la réglementation ne l'appliquent pas et parce que c'est pas leur rôle c'est d'autres qui appliquent et bien ils pourront toujours faire une super réglementation et qui sera inapplicable sur le terrain et la seule chose si on veut que les choses chent il faut queux qui appliquent les règlements son aussi ceux qui les fent et ça ça veut dire qu'on a besoin d'un choc de décentralisation et même d'Auton dans ce pays sinon on y arrivera pas c'est pas compliqué je veux dire ça fait 20 ans depuis que je suis député en 2012 je pense que était à partir de 2007 on parle tous de simplification vous l'avez vu la simplification administrative moi je l'ai pas vu parle ex et plus on essaie de simplifier plus ça complexifie donc la se la seule solution c'est de faire confiance aux acteurs de terrain à la fois bien sr les professionnel et de que les gens qui les accompagnent c'est-à-dire les fonctionnaires soient ceux aussi qui font les règlements ça se passe comme ça dans tous les pays d'Europe qui nous entourent ils ont tous une autonomie chez nous on est encore dans un système centralisé et je pense que ce système il est il amène aujourd'hui il arrive à son terme c'est un grand combat de vot notre collègue Paul mais qui a un combat qui est partagé partagé du groue par les petits nouveau on on a une semaine de l'assemblée qui arrive prochainement et je travailler là-dessus on a déposé un débat qui va avoir lieu on espère que le président de la Région Bretagne sera présenta l'Association des régions de France on on engage un débat sur la décentralisation et la déconcentration des politiques publiques agricoles européenes et française à l'échec des territoires pourquoi parce qu'ffectivement appliquer les mêmes règles partout ça n'a pas toujours du S parce qu'on pas territoire moi je suis du du Sud-Ouest on n pas le même climat qu'ici les d despendages doivent être adapté à chaque fois et à la réalité du terrain le problème d'irrigation c'est pas du tout le même chez moi est il est très criant on est au milieu du changement climatique on a besoin d'adapter vraiment publi sur les territoires moi j'ai j'ai des nombreuses incohérences sur le sur le terrain on voit avec des agris on essaie de le remonter mais effectivement les gens son là pour contrôler constate ils ont pas la capacité à changer les donc n milite pour pour ça et donc un vrai débat à l'Assemblée euh dans quelques jours puisque c'est la semaine du Salon de l'Agriculture février et on espère qu' fa avaner un petit peu le la discussion sur le sujet et que on tendra a plus de décentralisation je crois que en Bretagne c'est un sujet qui qui parle beaucoup mais dans le Sud-Ouest aussi parce que nous on se sent très très loin de Paris et avec des enjeux qui n'ont vraiment rien à voir quand vous voyez qu'on a de manière uniforme les Z pas alors que moi dans mon territoire on a des rendements deux fois inférieurs à ce qu'on a dans la bosse et qu'on a les mêes contraintes et même plus de chargge parce qu'on est un territoire très valoné donc les coup de carburant beaucoup plus élevés on voit qu' il y a pas de logique on a besoin de s'adapter une particularité de chaque territoire je peux vous dire il n'y a pas une agriculture il y a des agricultures moi moi mon objectif c'est que chaque territoire se développe un spécificité moi chez moi on l'a développé avec des productions à plus forte aajouté on fait des semasses de fait de la vigne voilà on s'est développé sur des marchu de N voilà je pense qu' il y a nécessité de vraiment adapter nos politiques qui soitu trop uni vous êtes venu au Val d'ou là vous pouvez peut-être aussi nous présenter un peu l'exploitation que vous êtes que éleveurs sont mieux plac pour se présenter alors oui moi je suis audre je suis installé sur l'exploitation familiale depuis 2009 avec Damien salarié au début il est associé avec moi depuis le prier janvier 2019 on est tous les deux sur un élevage deune centaine de vaches pour 1 million de l de lèv produit par avec 124 hectar et 300 ports à l'endress alors pour rejoindre le ce qui vient d'être dit en terme de problèm difficultés concrètement vous qu'est-ce que vous avez comme comme va utiliser le mot problème mais c'est peut-être pas celui qui convient prè mieux ou comm on l' déjà dit c'est la surréglementation par comme vous disiez c'est que les Gers la Bretagne les sont différents on a la même les mêmes règles a des épendages aujourd'hui avec la pométrie qu'on a eu c'est c'est compliqué donc réglementation est la même pour tout le monde mais le territoire français est très varié donc s'adapter je pense à aux régions c'est quoi l'urgence pour vous dans votre exploitation concrètement qu'est-ce de quoi vous avez besoin aujourd'hui très vite d'argent la R éération de notre rémunération quand on voit par rapport au nombre d'heures travaillé 7h le matin à 7h le soir une journée de 7h comm on dit chez nous mais euh ça c'est au minimum quand tout se passe bien donc comm vous voyez on est deux exploitants pour 1 million de l de lait 300 p pour 125 124 125 hect et aujourd'hui le revenu n'est pas n'est pas à la hauteur de temp pass alors la faute à qui ça je Seris pas vous dire entre la grande distribution entre les industriels entre tout le monde se renvoie plus ou moins la B c'est qui votre coopérativeous Liv cheal ça va mieux que ça on espère que ça va continuer et vous souffrez vous aussi de cette complexité administratif qui s'intensifie et vous avez un exemple concret parle alors moi je suis J je termine J on parle d'administration ça veut dire que quand je me suis installé on m'a demandé de faire des prévisionnels économies sachant qu'aujourd'hui personne n'est capable de N dire de ce qui va se passer dans 2 3 mois pu voir tous les problèmes géopolitiques qu' a eu avec la guerreukraine la flé des prix mon prisionnel est est plus ou moins valable par rapport à ce que j'avais annoncé on nous demande de nous projeter dans 5 ans alors qu'on est incapable de nous dire quel comment va être payé dans 3 mois qui vous demande ça à la banque les banque ouais ouis ban demande également et tout ça c'est conditionné avec des financements je suppose c'estd si vous répondez pas en temps en heure avec les bons critères c'est ça c'est ça on vous aide d'un côté mais si on récupérer l'argent qu'on vous a prê et là quand on arrive au timing au dernier qui vous êes qui est là pour vous aider on est toujours seul on se tour vers qui alors soit on est seul mais quand vous dit que de 7h le matin 7h le soir on est dans notre exploitation faut encore réussir à trouver un moment pour faire les papiers alors aujourd'hui on délègue beaucoup de papier grand partie deadministration est délégé pas parce qu'on veut pas le faire parce qu'on a pas le temps de le faire mais qui dit déléguer dit payer donc à chaque prestataire extérieur fait appel c'est c'est de l'argent qu'on doit donc en fait monsieur nous a donné un très bon exemple une c'est 24000 € sur un investissement qui va qui est largement quelques centaines de de milliers d'euros plusieurs donc on voit bien déjà que c'est une somme très faible et en plus donc à un moment donné il y a un tracteur qui lâche ah oui mais vous avez pas prévu ça dans votre prévisionnel donc il va falloir faire un avenant l'avenant il coûte plus de 1000 €. et puis il y a le voisin qui arrête ah ben on va reprendre ces ces teres donc faut faire un deuxème avenant vous voyez déjà là il est à plus de 2000 € rien qu'avec l'avenant c'est-à-dire quand en fait 10 % de la somme qu'on peut lui donner à la fin et déjà manger avec des avenants on peut pas fonctionner comme ça déjà la somme est relativement faible au vue de l'investissement et en plus si vous voulez elle est grignotée par ce genre de chos ça ça a plus de sens ça a plus de sens pour être clair l'avenant c'est faire appel à un prestataire qui va faire la modification jour mettre le dossier à jour jour et si à la fin vous avez pas réussi soit vous êtes largement au-dessus de ce que vous avez prévu c'estàdire vous gagnez plus vous avez pas la somme si vous êtes largement en dessous vous êtes déjà dans le dans le rouge vous avez pas la somme non plus donc faut rester dans une fourchette bon je vois pas le sens de ce genre de chose et ça si on voit pas ça sur place c'est pour ça que c'est intéressant pour toi comme c'estenne sur le terrain on nou c'est notre ADM d'être là si on si on on se rend pas compte de ça bah on a nos débats des au fonctionnaires qui nous parlent on dit on va faire de la simplification ok comment qui va décider de ça comment ça va se faire et come on prépare la loi d'orientation c'est vraiment important pour nous qu'on vive ça de façon à pouvoir spontanément en parler dans le cadre de nos débats vous allez visiter d'autres exploitations oui on voit un March tout à l'heure et puis bon on a chacun on a une certaine expérience oui c'est pas la première fois qu'on va dans uneer et dans d'autes parce que là on est en Bretagne mais vous allez dans monpartaccomp depuis mour sonteur chaque année on des problèmes les accpag pass les difficiles maisé je pas ici je mais pasouricure aussi ch clatique moi je suis dans une région on est au cur du CHYZ dans la même région C on a la séchesse côté catastrophe et chez moi on a eu le d'au et on a perdu 0%ulture on le prier expateur de en France on a perdu 80 % production imaginez c'est 50 millions d'euros pour un département où il y a 1900 habitants voilà je vous donne quelques chiffres l'agriculture pas oubl que ça représente la première économie dans tous les territoires donc c'est derrière les agriculteurs audelà de l'économie qui ramène ce qui paysage pour vivre no campagne si on n'est pas en mesure de les écuter c'est la perte de vitalité dans territoir rau pas le problème inéressant que Dav la spécificité des territoires com on traite tout le monde de la même façon c'est les mêmes réglementations alors les problèmes sont différents c'est les mêmes aid c'est ce que tu dis là c'est intéressant les aides de la pack la politique agricole commune c'est des a c'est des mêmes aides à l'hectar il y a quand même des endroits où il y a plus de problèmes que d'autres soit un céréalier de la bosseis que ces céréales sonté au mois d'octobre oui dire il passe pas souvent char pass pas souv dans févrit son temps dans ses résidences secondair c'est fa soigner tout le monde que tout le monde est rentré faut s'occuper de tout le monde fa gérer tout le monde si on croit que l'hiver c'est plus calme Mo c'est là pire parce que c'est là on doit s'occuper de tout le monde tous les jours vous est marante Laach on a l'impression a les cornes qu'elle a des couettes je sais pas si vous voyez ça ça fait très Chelle périe quelle période mars ça jusquau mois de novembre voilà parle pas non plus c'est char charge encore 1er février on encore 8 ou 9 % surricité ah ouis c'est clair machine à trire qui tourne par jour 4 par jour c'est de la consommation demain en système robot c'est 24 24 et pour autant notre cou du lait pas l'mentation duoupélectricité voilà mais on la met en concurrence avec des produits qui sont faits avec des sociale et environnemental qui ne sont pas les ntres je pense au Brésil ou à l'Ukraine parce que je pense le poulet derrière le morbillant est un grand département agicle et en fait on perd régulièrement à la fois des mètres carrés de poulailler et à la fois des des outils qui sont derrière et on est remplacé par en fait du poulet non pas du poulet qui vient d'ailleurs en France ni même en Europe parce que il vient essentiellement pour l'instant en tout cas de d'Ukraine qui est en dehors de la la de l'Union européenne ou du Brésil parce que ce que vous mangez dans la restauration hors domicile c'est du poulet qui vient d'ailleurs métieragcult l' compris de plus en plus capitalistique il faut acheter du foncier et ça pose la question de l'accès au foncier faut acheter des des bâtiments du du matériel des tracteurs et du bétail ce métier est très capitalistique et on voit arriver dans certaines régions des grosses boîtes qui achètent du foncier on va surtout sur des territoires pu avit des ouv il y a plus de notion d'explur agricole et des ouvriers agricoles et c'est une grosse perte aussi pour nos territoire je suis assez ass inquiet de voir qu'il y a des logiques capitalistiques qui font partie du métieragriculteur aujourd'hui et qui amène des gros opérateurs sur des territoires et qui qui font perdre le lien d'une agriculture avec son territoire et dans la perte du lien il y a tous les toute la production officiel de qualité qui est quand même la grosse valeur ajoutée de no territoire donc rester vigilant làdessus on assiste à des cartellisations industrielles on va assister à la même chose dans le domaine de l'agricure c'est comme on est en incapacité de faireation la logi ça avec chculture des banes et fait du page k AG syst