le jour de ma mort

salut chers téléspectateurs moi c'est Kevin vous serez plongé dans une histoire effrayant alors préparez votre pop-corn et [Musique] allons-y le service a commencé comme n'importe quel autre début à 21h et j'étais parti pour la longue nuit c'était une nuit froide un lundi donc je m'attendais à une garde relativement tranquille j'étais tellement fatigué que j'avais même pensé à me garer dans un endroit tranquille et faire une petite sieste éclaire quand tout d'un coup j'ai été réveillé en sursaut par un appel sur ma radio Yankee bravo 26 ça m'a surpris je ne réalisais pas que j'avais la radio à plein volume j'ai attrapé le micro et répondu Yan bravo 26 allez-y dis-je impatient de commencé pour l'opérateur de la salle de contrôle m'a expliqué qu'il y avait eu un appel silencieux au 980 19 et m'a donné toutes les informations nécessaires pour atteindre l'endroit d'où provenait l'appel k ces appels n'étaient généralement pas préoccupant neu fois sur 10 il s'agissait de faux appels par erreur de poche alors je me suis dirigé vers l'adresse d'où venait l'appel et en arrivant une vague de déception m'a envahi c'était un immeuble de logement j'ai appelé la salle de contrôle pour obtenir plus d'informations mais tout ce qu'il pouvait me dire c'était que l'appel venait de cet je suis sorti de ma voiture et j'ai regardé autour du bâtiment il était immense il devait y avoir au moins 50 locataires j'ai vérifié si je pouvais voir des lumières allumé depuis l'extérieur mais en vain je savais ce que je devais faire je devais entrer et frapper à chaque porte pour trouver exactement qui avait appelé j'ai soupiré profondément et me suis dirigé vers l'entrée du bâtiment je m'attendais à ce que la porte soit verrouillée mais quand j'ai mis ma main de elle s'est ouverte avec un fort grincement j'ai pénétré dans un long couloir noir et j'ai laissé la porte se refermer derrière moi avec un bangue qui a raisonné dans le couloir sombre soudain j'étais plongé dans l'obscurité totale j'ai sorti ma torche et l'ai allumé elle s'est allumée avec un sentiment qui éclairait faiblement l'clairait faiblement le cur couloir fr je pouvais maintenant à peine voir qu'au bout il y avait un escalier j'ai cherché un interrupteur il y en avait un dieu merci mer j'ai essayé l'interrupteur ce qui a provoqué un pop alors que l'ampoule grillait me surprenant légèrement tout ce que j'avais maintenant c'était ma torche pour éclairer le chemin et lentement je me suis avancé vers l'escalier devant moi en arrivant en haut un autre couloir long et noir m mat couloir long et noir ma accueilli celui-ci cependant avait des portes de chaque côté j'ai éclairé avec ma torche elle semblait vieille avec de la peinture qui s'effritait de toute j'ai baissé les yeux et remarqu pour la première fois à quel point le sol était sale et ce n'était pas le pire il y avait une terrible odeur dans l'air c'était horrible ça sentait comme un animal mort ou de la nourriture pourrie il y avait toujours des endroits que vous visitiez en tant que policier où vous vous essuyez les pieds en sortant et c'était l'un d'eux il y avait des taches partout sur le tapis de profonde taches noir à ce moment-là je me suis rappelé que quelqu'un avait probablement juste appelé par accident et tout ce que je devais faire était de m'assurer que tout le monde allit bien j'ai commencé à frapper à toutes les portes les premières fois que j'ai frappé à différentes portes personne ne répondait je ne voulais pas entrer de force dans les appartements pour être honnête je ne voulais pas avoir à faire toute la paperasse j'ai continuer à frapper à d'autres portes quand j'ai entendu un faible bruit venant d'a-dessus de moi on aurait dit des meubles qu'on traînaient sur le sol maintenant je savais que quelqu'un était là j'ai monté l'escalier suivant et me suis dirigé vers l'appart où je croyais que le bruit provenait en arrivant à l'étage suivant j'ai vu une petite ligne de lumière émané dessous une des portes je m'y suis rendu et frappé fort bonjour police pouvez-vous venir à la porte s'il vous plaît dis-je avec autant d'autorité que possible j'entendais des bruits de froissement de l'autre côté avant que soudainement la porte ne commence à s'ouvrir lentement not je me suis retrouvé face à un vieil homme mince je ne pouvais voir qu'une partie de son visage alors alors qu'il regardait autour de la porte à moitié ouverte il avait un visage incroyablement émacié et une longue barbe négligée nous avons reçu un appel au 999 de cette adresse je m'assure juste que tout va bien monsieur il ne m'a pas répondu au début ses grands yeux scrutaient le couloir comme s'il cherchait quelque chose ah vous devriez partir pourquoi demandais-je confus le vieil homme a refermé la porte devant moi et la lumière sous la porte a disparu j'étais confus et incapable de agir je ne pouvais pas expliquer pourquoi mais à ce moment-là j'ai commencé à ressentir un sentiment de malaise est-ce que j'étais en danger ici tout ce que je savais c'était que je devais encore trouver qui avait passé cet appel au 999 accidentellement ou non je me suis ressaisi une fois de plus et a continué mes efforts en frappant au port je n'ai toujours été accueilli que par le silence et en traversant le bâtiment la puanteur est devenue de plus en plus forte en sentant cette odeur plus puissante j'ai réalisé que c'était quelque chose que je reconnaissais c'était l'odeur de la mort tout policier vous dira que cette odeur est instantanément reconnaissable dès qu'elle frappe vonarine j'ai ressenti une boule dans mon estomac j'avais déjà vu la mort mais je n'y étais pas préparé ce soir j'ai attrapé ma radio pour appeler du renfort mais je n'ai été accueilli que par l'indifférence tous les autres policiers étaient sur des appel d'urgence frustré j'ai continué à suivre mon nez pour trouver la source de cette odeur nauséable en montant encore un autre qui et là et j'appelé avec une légère nervosité dans la voix les pleurs se sont soudainement arrêt me laissant dans un silence complet je suis resté immobile pendant un long moment écoutant d'autres bruits tout ce que je pouvais entendre maintenant était le sifflement occasionnel du vent venant [Musique]