alors c'est très paradoxal avec tout ce qu'on vient de dire mais ce que je retiens de mes deux semaines à Gaza c'est l'humanité que j'ai rencontré là-bas et ce que je retiendrai c'est vraiment la vie dans la mort nous humanitaire quand on revient on a ce type de discours de dire que ils ont de l'espoir mais quand même temps il y a la mort quand même temps il préférerit presque mourir c'est une espèce de patchwork d'émotions qui s'entremêent et qui sont vraiment indescriptibles sur le plan personnel j'arrive pas à mettre des mots sur ce que j'ai vu sur ce que j'ai vécu j'ai encore du mal alors que ça fait plusieurs semaines que je je suis entrée je continue de dire laissez-moi le temps d'atterrir j'ai eu une intolérance aux plaintes qui me semblait dérisoire je supportais plus qu'on me dise j'ai mal au dos j'ai mal à la tête oh c'est trop salé j'ai eu cette période un peu d'intolérance qui m'est vite passé parce qu'on m'a dit bon Iman tout le monde n'est pas allé à Gaza vu ce que tu asvecu donc ton curseur tu le redescends à notre vie ici ma famille ne me pose pas de questions il découvre ce que j'ai vécu en regardant les images notamment du témoignage à l'Assemblée nationale