Ouverture verissur le numéro 1 des alarmes en France rendez-vous sur verissure.fr pour votre demande de devis gratuit verissur présente Sud Radio parlons vrai 9h10h Benjamin glaise Sud Radio parlons vrai on ouvre les débats sur Sud Radio à 9h35 elles accusent le gouvernement de faire une chasse aux pauvres les cinq principales associations de locataires de logements sociaux pointte du doigt le projet de loi qui sera présenté en Conseil des ministres le 7 mai prochain on va parler justement de toutes ces mesures mur qui sont annoncé dont on va entendre parler les prochaines semaines avec nous ce matin flurence Sportelli bonjour et merci d'être avec nous ce matin sur Sud Radio vous êtes maire de taverern dans le valdoise vice-présidente de l'Association des maires de France également présent avec nous Jean-Baptiste bonjour bonjour et merci d'être avec nous ce matin sur Sud Radio également vous êtes porte-parole du DAL l'association du droit au logement parmi les principales mesure annoncé et qui fait d'ailleurs cette mesure énormément réagir c'est c'est la question de la fin du logement social à vie ça a été d'ors et déjà annoncé par le ministre du Logement Guillaume casbariant est-ce que c'est une bonne ou une mauvaise idée selon vous Florence Sportelli écoutez ça dépend comment c'est fait ce qu'il veut dire derrière c'est-à-dire en réalité aujourd'hui la majorité de not de nos compatriotes n'arrivent plus à se loger et c'est un drame absolu qu'Emmanuel Macron d'ailleurs n'a absolument pas traité depuis qu'il est président de la République dans les métropoles et dans les banlieux c'est la situation est absolument terrible et je vous rappelle qu'il avait enterré en grande pompe avec dans une posture assez humiliante jean-l borlot avec le plan qu'il avait fait pour les banlieux donc c'est des gens qui se foutent complètement de la politique du logement il y a même une période où on n'avait même pas de minist du logement donc c'est vraiment pas leur priorité donc je vous dirais sincèrement j'attend de voir ce qui se passe parce que d'un côté on manque de logement d'urgence pour les plus précaires de l'autre côté on n arrive plus à loger les classes moyennes et enfin ce qui n'est pas normal c'est qu'il n'y a pas de politique d'accession à la propriété ce qui fait que vous pouvez imprimer toute votre vie avoir des des conditions de vie parfois même difficiles parce que vous n'avez pas toujours des un travail très facile et à la fin vous n'avez pas de quoi assurer garantir finalement votre vieillesse sil se passe un pépin vous ne pouvez pas mettre en location votre logement ou le vendre vous n'avez rien à transmettre à vos enfants donc il y a un vrai problème de la chaîne de l'habitat donc je ne sais pas ce qu'il appelle mettre fin au logement à vie moi je pense qu'on reste beaucoup trop longtemps dans un logement social mais la question une fois qu'on a dit ça c'est c'est comment on permet notamment en classe moyenne d'accéder à la propriété ce qui aujourd'hui n'est pas le cas par exemple r en île-de-fance 76 % des foyers sont éligibles au logement social et comment aussi on aide les plus précaires à trouver une solution d'habitat h Jean-Baptiste du du droit au logement sur ces différentes mesures vous les avez découvertes d'ors et déjà notamment sur cette mesure de de la fin du logement social à vie en gros à partir du moment où on dépasse le seuil on est invité à quitter le logement ça serait une des possibilités ça vous fait réagir ça vous met en colère en colère non pas pas vraiment mais on trouve ça un peu incohérent si vous voulez parce que d'un côté il y a une injonction pour la mixité sociale dans le dans les HLM et d'autre côté on va virer les classes moyennes quoi bon voilà donc là il faud regarder un peu attentivement ce qui va se passer du point de vue de de la loi l'élaboration du texte de loi maintenant ce qui nous préoccupe le plus parce que ça c'est le côté slogan en gros on met les classes moyennes enfin on va on va dire voilà il faut du logement social comme vous l'avez dit assez justement enfin quelque part on a besoin de logements sociaux mais c'est pas environ quelques locataires qu'on va régler le problème avec cette idée en fait on on oppose d'un côté les classes moyennes au classes les plus pauvres quoi en gros c'estou il y a ce côté-là puis a l'autre côté bah on leur fait payer un surloyer ça ça nous paraît tout à fait juste et ce surloyer devrait permettre de faire ce qu'on appelle de la minoration de quittance de la baisse des loyers pour loger des ménages modestes dans du logement intermédiaire du logement entre guillemets pour classe moyenne ou ailleurs je sais pas quoi donc si vous voulez bon c'est un côté c'est un côté un peu démago moi je dirais hein cette cette annonce et cette communication La fin du logement social à vie ? surout excusez-moi ça ça s'appelle pas la fin du logement social à vie qui est dans du logement social à vie les gens en général qui sont dans des HLM il y a pas de tover donc ça c'est de la fumisterie le si c'est uniquement en effet virer les classes moyennes supérieur et encore qui sont dans ce qu'on appelle les pls les logements sociaux le moins sociaux poss possible entre guillemets et puis surtout privé nous quand il faut savoir qu'avec l'état on signe des contrats de mixité sociale alors comment va être la mixité sociale comment on va faire la mixité sociale dans les écoles si vous ne l'avez pas dans les quartiers que ça devient des quartiers ghetto comment aussi on fait parce que il n'y a pas d'accession comme je disais à la propriété dans cette dans ce pays ça devent de plus en plus difficile l'immobilier à flambé il y a aussi une pénurie de constru proposition pour attendez moi je vais vous dire moi je construis donc j'ai pas de par rapport à ça et je fais aussi des logements très sociaux pour les plus défavorisés pourquoi d'ailleurs j'ai un moment un frein dans les constructions de logement parce que c'est les vers qui attaquent à chaque fois les projets au tribunal donc ça c'est la réalité au nom de soi-disant politique écologique et ben il faut pas l'empreinte carbone il faut il faut pas qu'on construise trop c'est mauvais pour la planète et cetera alors qu'il y a un vrai problème humain et évidemment il faut pouvoir loger les gens ça veut pas dire ne pas respecter des clauses environnementales ne pas respecter l'écie et cetera mais il faut aussi respecter l'humanité donc en fait le problème il est beaucoup plus complexe que ça mais ça c'est pas du tout la fin du logement social à vie et puis je rappelle aussi de manière très pragmatique les bailleurs ont des difficultés parfois à encaisser l'argent du loyer et on y reviendra peut-être une très très mauvaise politique du logement parce que en fait en France notamment les préfectures Action Logement ils logent pour loger mais regarde pas les conditions de vie des des locataires on a des des gens Action Logement c'est un ordinateur et des algorithmes quand vous avez un logement qui se libère on extrait trois personnes qui seraient à priori sur l'ordinateur éligible à part que souvent elles n'ont pas réellement les moyens d'être en logement social et ça atterrit dans les CCS parce que les factures sont trop élevées que ces gens-là ne vont pas dans des plai et qu' n'arrivent pas à assumer finalement les charges donc il y a une très mauvaise politique du logement mais les locataires qu'il veulent virer parce que soit-disant ils auraient dépassé le la fond alors qu'il paye des surloyers c'est ceux qui permett souvent bailleurs social d'équilibrer les comptes parce que c'est ceux qui ne sont pas en situation de surendettement c'est ceux qui payent leur loyer et cetera mais en tous les cas ce n'est pas la fin du logement social à vie c'est pas la fin du logement social à vie c'est pas une politique de la propriété je-baptiste sur le bilan que vous faites de la situation ce que j'ajouteraiis c'est qu'en réalité la la cause de la crise du logement c'est le logement cherd mais bien sûr c'est le contexte spéculatif qui a fait monter les prix du foncier de l'immob ili et des loyers logement cher alors pourquoi parce que évidemment ça vous êtes maire donc vous savez très bien de quoi je parle les droits de mutation il tombent dans l'car attendez et nous ce qu'on observe c'est que les municipalités grosso modo les maires en gros he vont plutôt chercher à faire la gentrification plutôt que à loger les classes popu bon c'est une réalité objective et l'État va aussi dans C la construction tout de même aussi oui Non Non mais des freins à la construction le vrai frein à la construction c'est que le logement est trop cher enfin il a suffit que les taux d'intérêt remontent de quelques de quelques points pour tous les milieux de l'immobilier se mettent à créer au secours la crise et cetera en réalité la crise elle a commencé depuis longtemps ça fait ça fait 30 ans qu'on mne une politique qui aboutit à la situation qu'on connaît aujourd'hui et qui encourage la spéculation immobilière la montée des prix la rente locative et les profits qui sont tirés du logement cher donc le résultat c'est que les sans abris on a de plus en plus de sans-abris de plus en plus de logements vacants il faut quand même le rappeler aussi parce que là on a une mesure de réquisition qui devrait être appliqué qui est pas aucune politique pour mobiliser les logement vacants hein comme si finalement la pénuie et la crise du logement intéressait et convenait au pouvoir actuel juste pour vous répondre point par point déjà sur parce que Florence Portelli voulait réagir déjà L'opposition des maires non c'est vrai à moitié je vous prends un exemple non mais je peux je vous savez je suis viprésident deassociation des maires de France je sais ce que me disent aussi les collègues les difficultés qu'ils ont et je pense qu'il faut pas opposer les maires qui gère aussi les difficultés sociales avec les CCS et qui sont j'allais dire les MOS dans le camp oui et qui font un travail formidable et qui ont énormément d'empathie donc je je pense qu'il faut pas caricaturer je prends l'exemple de ma je je sais pas ce que vous faites parlais au nom de la MFI ai moi je parlais de en tant que viceprésident de l'Association des mes de France j'ai dit les mer je m'appelle pas lesmerge bon pour ma ville maintenant que vous m'interpellez sur ma ville j'avais le projet un projet de construction d'écoquartier d'A que j'ai toujours j'ai eu deux contradictions un déjà la gauche chez moi qui attaque ça en justice au nom de l'artificialisation des sol et cetera se foutent complètement qu'on arrive pas à loger les gens chez moi je n'ai pas de logement vacant et d'ailleurs j'ai pris des mesures contre les marchands de sommeil je fais du logement social et j'ai aussi les services de l'État qui me disent deux choses différentes d'un côté j'ai un service logement qui me dit il faut construire du logement social il faut en faire il faut en faire très bien de l'autre côté j'ai un autre service de l'État qui s'appelle la la me une soi-disant mission indépendante environnementale qui me dit vous n'êtes pas en zone tendue alors je suis en zone tendue en île-defance et c'est il ne faut pas que vous construisiez des logements c'est c'est comme dans le dîner de con la rouge ou la rouge quoi si vous voulez mais là en contradictoire donc régulièrement j'interpelle le préfet je dis j'obéz à qui je suis qui vos propres services me disent l'extrême inverse donc ça il faut aussi que vous ayez ça en tête c'est que comme il y a pas de politique de logement mais il y'y a pas non plus de courage on crée des autorités pour faire bien pour faire écolo alors en réalité d'ailleurs ils ne connaissent pas grand-chose parfois à l'écologie qui sont très politisés et qui nous font des inj totalement contraire ça veut dire qu'à ce niveaul-là on laisse aux collectivités locales ah bah les collectivités locales mais moi j'ai attaqué plusieurs fois l'état en G j'ai même gagné mais là là-dessus bah écoutez on a dû batailler on a eu la Haute Autorité environnementale qui est venue on a contreargumenter et puis on a eu pour le moment gain de cause mais c'est de la perte de temps c'est compliqué il y a des maires qui n'y arrivent pas et puis après il y a aussi des injonction qui rendent les les les textes inapplicables moi j'ai les collègues on leur demande de construire parce qu'ils n'ont pas de foncier disponible en zone inondable on va revenir dans dans un instant justement sur ce débat encore beaucoup de choses à dire avec vous Jean baptisteo je le rappelle porte-parole du DAL l'association Droit au logement et puis Florence Portelli maire de taverern dans le Val d'Oise vice-présidente de l'Association des maires de France à tout de suite verissû le numéro 1 des alarmes en France rendez-vous sur verissure.fr pour votre demande de devis gratuit verissure présente Sud Radio parlons vrai 9h1h Benjamin gise de radio parlons vrai le La chasse aux pauvres ? débat continue aussi en antenne mais il va se poursuivre avec vous pour parler justement de ce projet de loi sur le logement logement social le gouvernement fait-il la chasse aux pauvres avec nous Florence Portelli maire de tavernie dans le valdoise vice président de l'Association des maires de France je le rappelle et puis Jean-Baptiste HUD porte-parole du DAL l'association du droit au logement on avait laissé ce débat sur la question justement des la différence qu'on peut avoir entre entre certaines mairies qui vont véritablement faire un effort sur le logement social et d'autres qui vont pour le coup et bien faire requin Jean-Baptiste her bah écoutez ce qui nous apparaît ce qui nous semble hein c'est que globalement on produit de moins en moins de logements sociaux en France ça c'est une c'est c'est une évidence quand on regarde le sold d'année en année on a moins de 50000 logements supplémentaires chaque année parce une fois qu'on a déduit les ventes de logements sociaux parce que les bailleurs sociaux sont obligé de vendre le patrimoine pour avoir un peu d'argent vu que l'État et Macron leur a coupé euh leur a coupé les vivres deuxième chose il y a la question des démolitions HLM qui euh qui est aussi problématique parce que parfois ça s'apparente à on va dire une forme de gentrification même on va dire le mot dépuration sociale parce que derrière on va changer les populations et on va faire monter les prix immobiliers autour surtout dans les zones tendu je parle des zones les plus tendues donc là du point de vue euh euh des maires je dirais que alors il y a il y a quand même des mesures dans la loi il y a des mesures qui sont prévues notamment de déléguer l'attribution des logements sociaux au ou et donc nous là-dessus on est très inquiet parce que on a vu ça a été fait déjà ça a été fait oui non mais peut-être que vous vous allez faire les choses correctement mais attendant en attendant ce qu'on observe c'est que quand ça a été mis en place en France entre 2004 et 2017 hein c'est ça a été une violation aux obligations de de qui qui qui incombaaiit au maire en matière de relogement des prioritaires d'allau en matière de relogement des prioritaires en général avec le développement d'E clientéliste c'est-à-dire comme on a connu dans les années 90 à Paris Florence portellier maire de TAV réaction sur ce point là sur cette question aussi sur cette mesure de donner plus de pouvoir au maire à vous dans cette attribution des Conclusion logements sociaux al deux choses c'est pas tout à fait vrai ce qui dit parce que en fait au départ quand on a non mais je corrige une donnée qui est qui est pardon purement factuelle quand on a par exemple des contingents ou ou même sur les contingents préfecture on nous dit la première attribution c'est avec les MRE que ça se décide une fois que le locataire part ce n'est plus le MRE qui a la main h donc il faut remettre je dire Guis au Milie du village non mais je vous parle actuellement actuellement la réalité des fait c'est ça sur les Dallos la difficulté aussi c'est que de mon point de vue on a confondu dans ce pays le logement social et le logement d'urgence ce qui fait que d'ailleurs aujourd'hui vous vous retrouvez parfois avec des gens donc ce qu'on appelle do des gens qui sont dans une situation extrêmement précaire qui normalement devrait être euh fléché vers de l'habitat d'urgence ou vers ce qu'on appelle des plai c'est une typologie de logement social pour les gens qui ont des qui sont en grande précarité et aujourd'hui le système fait que les préfectures Action Logement plutôt que de se soucier derrière de leur capacité ce que je disais tout à l'heure a même payé les charges il flèchent les Dallos sur des logements qui n'auront pas après les moyens de payer et notamment ce qu'on les plus et même parfois des pls moi j'ai eu des cas comme ça donc loger pour reloger c'est du dogmatisme et c'est idot après sur le fait que les mères etent la main pourquoi on veut que les MRES a la main alors parfois ceci dans l'autre sens que c'est pas très bon Valéri pcres on a pris une disposition pour arrêter de ghettoiser des endroits où n' avait plus de 30 % de logement social parce que la difficulté quand vous faites des quartiers ghetto c'est que les gens ne s'en sortent pas socialement donc moi je ne suis je suis contre le fait de ne pas faire de logement social je suis contre le fait aussi de ne pas accéder à la propriété je suis contre le fait de ne pas faire du logement très social mais je suis contre aussi les quartiers ghetto parce que ça ça a été fait de manière clientéliste pour remplacer aussi l'ancienne classe ouvrière ça a été fait notamment dans certaines banlieuux communistes ou de gauche je prends l'exemple de trappe on a aussi après un tel phénomène de ghettoisation qu'on a même une montée également d'un communautarisme parfois antirépublicain on a dans ces quartiers-là un taux de chômage des femmes extrêmement important donc uniquement se dire je loge je mets dans les immeubles je tourne le dos j'ai fait mon action je suis tranquille c'est pas sérieux et d'ailleurs les maires après gèrent socialement ce c'est c'est c'est bombes sociales donc il ne suffit pas de caser les gens dans des logements il faut avoir une politique d'accompagnement social et d'émancipation donc je vous dirais euh que les maires et la main pourquoi pas mais est-ce qu'ils l'auront jusqu'au bout est-ce que quand il y aura du turnover dans ces logements ils l'auront est-ce qu'on permet réellement la mixité sociale est-ce qu'il ne faut pas assumer et dire on fait une politique de quota pour qu'il y ait un vrai équilibre social culturel dans les logements euh souvent d'ailleurs on le fait un peu en H mais on peut pas le dire parce que ce n'est pas dans la loi il faut vraiment que les mixité mais il faut que les mixité ce ne soit pas un gros mot il faut que les gens aient l'impression de d'appartenir à une même communauté nationale et pour ça ça passe par une véritable mixité et aujourd'hui nous n'avons pas tous les outils pour cela Jean-Baptiste cette question des des Côa de voilà de de mixité sociale écoutez enfin ça c'est pour nous c'est c'est une histoire qu'on nous rabat là depuis 25 ans nous ce qui importe pour nous c'est que les gens soient logés c'est quand même la première chose après vous avez les maires ont leur problème de gestion et ca et cetera bon ok attendez mais nous ce qu'on observe c'est que on a aujourd'hui 330000 sans abri on a 2,6 millions de demandeurs de logements sociaux 70 80 % d'entre eux d'ailleurs sont éligibles 70 % sont éégibl un logement très social donc il faut il faut répondre à la demande et dans le secteur privé le secteur privé c'est la jungle c'est la jungle il y a des lois qui en qui qui qui qui encadrent les loyers par exemple qui se mettent en place enfin qui existe dans le centre de ville qui sont violés impunément impunément le gel à la relocation qui existe à la relocation dans le secteur privé qui existe depuis 2000 2012 n'a pas empêché la hausse des loyers dans les zones tendues parce qu'il n'est pas respecté par les bailleurs ni les milieux immobiliers les congés frauduleux avec les Jos qu'on voit se développer aujourd'hui parce que les baayurs vont dire on va faire du Airbnb et cetera on va faire la location et gagner un maximum de fric s'il y a un côté c'est que l'argent le pardon le logement c'est devenu l'Eldorado dans l'esprit d'un certain nombre de personnes évidemment une minorité parce que je veux dire déjà faut poser pour posséder plusieurs logements pour avoir avoir un petit peu un peu de moyen derrière résultat des courses les 30 % qui sont 30 % la limitation là qui est donné à 30 % de logements sociaux dans les villes moi je trouve ça un peu injuste parce que 30 % ça permet pas de loger euh ça permet pas de loger les 800000 demandeurs de logement soci de France demand ais pas que ma fille oui bon voilà ok bah non mais excusez-moi exemple de trappe mais si vous voulez y a un tas de quartier de logement social qui se passe très bien oui tout à fait mais pas quand on est à 50 ou 60 % on est sur des logiques de stigmatisation pas de stigmatisation parce que les gens eux-même je vous dis non parce que les gens eux mêmes aspirent à la mixité il y a pas longtemps j'étais dans un collège école primaire d'Argenteuil qui s'app espéré banlieu où justement les mamans des quartiers nous dis y allit parce que elle voulait sortir de la gettoisation de certains quartiers pour retrouver deé soci pour regardit s'il vous plaît s'il vous plaît s'il vous plaît oui donc débat très vif vous l'aurez compris on y reviendra on aura l'occasion puisque le projet de loi sera présenté en Conseil des ministres le 7 mai prochain en tout cas merci à vous Florence Sportelli maire de tavernie dans le valdoise vice-présidente de l'Association des maires de France Merci à VOUS Jean-Baptiste h porte-parole du D association du droit au logement discussion échange musclé mais avec des arguments bien entendu 9h57 sur Sud Radio très rapidement je remercie toute l'équipe de parl vrai sur Sud Radio qui a vré tout au long de cette semaine Manu au standard Maxime et Jamel à la réalisation également Laura du côté du web à la à la programmation et bien Juliette et Joseph et puis je n'oublie pas également Maxime troulot très bonne journée sur Sud Radio dans un instant Sud Radio méia avec Valérie Expert et Gill ganzman qui reçoivent Bernard de La vilardière Sud Radio parlons vrai 9h10h Benjamin GL avec verissû le numéro 1 des alarmes en France rendez-vous sur verissure.fr pour votre demande de devis gratuit