le procès du bombardement du camp français de bouaké en novembre 2004 par deux son coin de l'armée ivoirienne a débuté lundi aux assises de paris france selon plusieurs sources concordantes gérard maury car ex commandant de la brigade prévôtale de bouaké a été le premier témoin à la barre lors de l'audience l'ex-commandant trouve curieux que rien n'ait été tenté pour arrêter les pilotes biélorusses dès leur retour sur l'aéroport de yamoussoukro où il se rend quatre jours plus tard j'ai entendu le ressentiment de soldats qui disaient qu'il y aurait eu moyen de les arrêter ils s'étaient réfugiés dans un bâtiment sur l'aéroport ça aurait été facile mais les ordres n'ont pas dû être données dans ce sens mais pour les remettra qui se relaieront se dit lui même avant de concéder c'était compliqué la situation était très tendue aurait il confié nous apprenons que des quatre ministres français qui doivent être entendus comme témoins à ce procès seul michel barnier à l'époque ministre des affaires étrangères a confirmé auprès de la cour qu'il viendrait témoigner michèle alliot marie ministre de la défense lors des événements survenus il ya de cela plus de 16 ans ne souhaite pas venir témoigner un refus dénoncée par les avocats des parties civiles jean pierre raffarin alors premier ministre et dominique de villepin ex ministre de l'intérieur n'ont pas aussi confirmé leur présence le procès du bombardement du camp français de bouaké ouvert lundi est prévu pour durer trois semaines ledit procès devrait aboutir à dénoncer les commanditaires de l'attaqué qui a fait neuf militaires français et un civil américain tué 38 soldats français blessés il faut noter que les principaux accusés des mercenaires biélorusses et assister deux copilotes ivoiriens sont absent au procès