boucan canot et ce cri de colère d'un restaurateur quatre jours après la dernière attaque il a dans son collimateur les surfeurs l'abord direction boucan canot c'est la brigade nautique de la gendarmerie étaient en mission sur place ce matin à chaque jour depuis la dernière attaque les filets sont inspectés précisément là où se situe le trou béant par lequel serait peut être passé le requin de samedi dernier aujourd'hui un restaurateur est en colère voyez ce reportage a signé thierry chapuis pierre boudreau aujourd'hui propriétaire du ti boucan a repris cette affaire en 2011 pas de chance c'était juste avant le début de la crise requins comme tous les commerçants il a attendu janvier 2016 la mise en service du filet annonçant le retour à la vie de boucan canot mais samedi dernier pour lui tout s'est effondré il est plus qu exaspéré ses rôles balle c'est de la colère la mairie s'est engagée le monsieur fleuret s'est engagé à passer des nuits et c'est à monter des projets pour redorer le blason de boucan et des roches noires nous a posé des filets la mairie a investi des sommes colossales pour pour ses installations pour protéger les gens et quand on leur met des panneaux comme quoi c'est interdit et surfer parce que le filet et déchirait on y va quand même n'en faut arrêter faut arrêter wisches leur colère oui je suis en colère il n'y a pas que moi rassurez-vous estimant subir un préjudice il veut constituer un collectif et porté plainte contre le surfeur je porte plainte pour le fait que les gens prennent conscience ces jeunes prennent conscience que ces attaques sont quand on leur interdit quelque chose c'est pas pour leur faire du mal je comprends qu'ils aient besoin de s'exprimer qu'ils aient besoin de 2 de faire plein de choses mais qui déjà qu'ils mettent leur vie en jeu c'est une chose mais qui met l'économie de toute une île et de deux touristes de tous tu dis l'enjeu n'en c'est impensable pendant ce temps les plongeurs de la gendarmerie font les constatations d'usagé sur l'état du filet il faudra attendre sa remise en service pour savoir si le dispositif garde la confiance des réunionnais