la vidéo dure à peine une minute mais elle a provoqué aujourd'hui une tempête parmi les parents d'élèves et au sein même de l'éducation nationale on y voit une institutrice violenté une élève âgée de 3 ans au point de la faire tomber par terre une plainte a été déposée par la famille et une enquête préliminaire a été ouverte Frédéric agè et Olivier stetinb devant cette école du 15e arrondissement de Paris un mot revient chez tous les parents d'élèves quand j'ai vu la vidéo honnêtement j'étais choquée en tant que maman choqué ça m'a fait mal au cœur choqué par la vidéo donc d'une de leurs enseignantes de petite section de maternelle cette vidéo la [Musique] voici pour stopper les cris de cette petite fille de 3 ans sa maîtresse la frappe dans le dos la faisant tomber la fillette se réfugie dans un coin de la classe l'adulte l'asperge alors d'un liquide indéterminé pour l'instant en lui disant ses mots pendant 54 secondes la maîtresse semble s'acharner sur la fillette en découvrant ces images filmées par une autre maman les parents portent plainte pour violence aggravée petite fille aujourd'hui ne va pas bien du tout elle ne veut plus regarder les gens dans les yeux elle ne veut pas parler de la maîtresse elle ne veut pas quitter sa mère donc c'est très difficile elle ne va plus à l'école évidemment l'enseignante suspendue a présenté ses excuses et pour sa défense dénonce une classe surchargée 28 élèves au lieu de 24 le rectorat confirme ce surnombre mais condamne catégoriquement le comportement de cette maîtresse au 20 ans d'ancienneté à ce jour il n'y avait aucun antécédent aucun blâ rien non non le encore une fois le dossier ne comporte rien vous vous doutez bien qu'on l'a regardé immédiatement il faudra qu'on regarde si des faits n'avaient pas été remontés une affirme avoir alerté le rectorat et la directrice il y a 13 ans après une claque de cette même maîtresse à son fils elle me dit non non non votre fils je pense qu'il invente elle s'est rangé du côté de la maîtresse et j'ai écrit au rectorat j'ai fait un signalement et j'ai encore les documents chez moi signalement resté apparemment sans réponse pour les violences de cette rentrée deux enquêtes sont ouvertes l'une judiciaire l'autre au sein de l'éducation nationale Toulouse Toulouse