Bonjour. - Bonjour.
- Bonjour. Bonjour,
comment vous vous appelez ? Manuel et lui,
c'est Liam. Moi, c'est Liam. Tu veux prendre une photo
avec moi, peut-être ? - Oh, ouais.
- Oh ouais ! On va prendre un selfie.
Tu vas te débrouiller. Tu sais comment tu fais ?
Non, tu sais plus ? - Mais si, ils savent faire.
- Voilà, tu vois. Voilà,
très bien, parfait. Merci ! Bonne continuation,
tous mes vœux de réussite. - Bonjour.
- Ça va ? Oui et vous ? Vous êtes au collège
ou au lycée ? - Au lycée, oui.
- Quelle année ? Première. Merci beaucoup. C'est moi qui vous remercie. On peut faire une photo
avec vous ? Bien sûr, allez. Bonjour, madame.
Comment ça va ? Très bien et vous ? Ça va ?
Et la famille ? Ça va, merci. - Bonjour.
- Bonjour. Ah, voilà. - C'est bon ?
- Oui, merci. - Je peux ?
- Oui, allez-y. Merci. Il faut bien
trouver comment ça tourne. Ah, oui. Comme ça ?
Un peu plus loin, oui. Un peu plus loin ? Non, mais il faut
qu'on nous voie quand même. Merci. Allez, on y va. Bonne journée à tous
en tout cas et merci. Michel,
il faut rendre à César ce qui appartient à César. C'est Dominique Dord
et Bernard Marin qui ont la paternité... De qui ? De la maison. Moi, j'ai quatre filles. - Bon, ça va ?
- Oui. Parce que, tu sais... lui, il est toujours là
avec son truc. Oui, il faut pas dire
de conneries. Bon, j'essaye
de pas en dire. Vous vouliez
qu'on fasse une... Monsieur ! Excusez-nous. On va faire le point presse
ici, du coup. C'est peut-être un peu
trop haut, là, non ? J'ai jamais regardé
les gens de haut, jamais. En tout cas,
merci beaucoup d'être là, dans cette étape à laquelle
je tenais beaucoup. Je suis très heureux,
monsieur le maire, de votre accueil
et très touché par ce que j'ai entendu, et même ému,
parce que je trouve que l'accueil des personnes
qui sont ici prouve quoi ? Que des personnes âgées,
mais pas seulement, il y a aussi l'emploi... Des personnes isolées... Il y a beaucoup
de gens isolés en montagne ou en moyenne montagne. Ils ne sont plus obligés
de renoncer ou de rester isolés,
ils ont, maintenant, grâce à ce qui a été fait
depuis quelques années... J'ai parlé dans
mon tout premier propos, à l'hôtel Matignon, au moment
de la passation de pouvoir, de persévérance
dans certains domaines. Il y a de bonnes actions
qui ont été engagées et on va continuer. Le service du public, le service des citoyens, c'est ça, l'essence même
des services publics. C'est ce qu'on vient
de voir et ce qu'on vient de voir,
c'est l'État, les services de l'État, des organisations sociales, des organismes sociaux,
des collectivités locales qui trouvent des locaux,
qui payent des agents. C'est une forme
d'intelligence locale, d'intelligence régionale
au service du public. Et ça, on va continuer. Avant de continuer,
je veux... On parlera,
un peu plus tard, des déserts médicaux
que nous voulons combattre dans les villes
comme dans les campagnes. J'ai visité hier... des services de l'État
dans une sous-préfecture. Hein, monsieur le préfet ? Et c'est aussi
une autre sorte de service, pour toutes les questions d'intégration
et de naturalisation. Ma première visite,
c'était dans les services publics
de santé et je vais continuer
par l'école. Je veux que les Français,
partout, sentent un progrès.
Voilà. Et le progrès, il passe
aussi par le service public. Merci à tous
en tout cas. J'étais très content
de m'arrêter à Albens. Voilà.