Cyril ramafosa l'avait bien prédit les chances pour le destituer de son poste de président de la République était plus que minime le chef de l'État sud-africain s'est vu livrer une bataille politique et médiatique depuis des mois après avoir été accusé de corruption le Parlement a voté à la majorité contre sa destitution avec 214 voix [Applaudissements] tout a commencé en février 2020 lorsque des intrus sont repartis avec 580 mille dollars dénichés sous les coussins d'un canapé dans la ferme de Falafala une propriété privée de ramafosa dans la province du limpo au nord du pays le fruit de la vente de 20 buffle selon le président de l'argent sale selon la plante déposée en juin par un opposant un rapport parlementaire rédigé par trois juristes a conclu fin novembre que le président âgé de 70 ans aurait pu commettre des actes contraires à la loi c'est sur cette base que le Parlement devait se prononcer le chef d'État une des grosses pointures du parti au pouvoir line C a été soutenue par la majorité de ses membres et a échappé à la motion de censure ramafosa reste très populaire auprès de son peuple en dépit des soupçons pour certains observateurs cette affaire de scandale de corruption n'est pas fortuite alors que Pretoria s'apprête à présider l'organisation des BRICS l'an prochain