Les députés LFI appellent les parlementaires à destituer Macron pour "défendre la démocratie"

la pression s'accentue sur Emmanuel Macron et notamment sur l'étiquette politique du futur premier ministre c'est Nicolas Sarkozi qui est sorti de son silence l'ancien président a indiqué qu'il préférait voir un premier ministre de droite une idée rejetée par le rassemblement national qui dresse plutôt un profil type qui pourrait ne pas se faire censurer les électeurs nous ont élu pourquoi pour plus de sécurité moins d'immigration plus de pouvoir d'achat sur ces trois points fondamentaux nous serons vigilants ce qui va dans ce C et bien nous l'accepterons ce qui va contre ces trois fondamentaux et bien nous censurerons du côté du Parti socialiste il n'y a pas de tergiversation à avoir pour Emmanuel Macron Lucy casté candidat désigné du NFP doit être nommé et aucun autre nom ne sera accepté nous ne voulons pas gouverner parce que nous aurions la bienveillance de l'extrême droite nous ne voulons pas gouverner parce que nous serions les otages de la macronie nous voulons gouverner sur nos propres bases nous voulons gouverner sur notre propre rapport de force nousons gouverner à partir de ce que nous croyons de ce que nous portons Emmanuel Macron également ciblé par François Ruffin le député de la Somme évoque de nouveau l'idée d'une destitution Emmanuel Macron persiste à ni sa défaite à conserver les manettes à abuser de son pouvoir comme il le fait aujourd'hui il faudra user de tous les moyens constitutionnel bien sûr dans les rangs du parti présidentiel Gabriel a défendu l'idée d'un premier ministre ne venant pas des partis du bloc central ellisabeth borne parle d'un profil de compromis faut bien qu'il ait des textes qui passent à l'Assemblée et quand on regarde les chiffres l'arithmétique si je peux dire on voit que pour ça il faut être capable de convaincre la gauche progressiste le bloc central le groupe lot et puis la droite républicaine et c'est ce travail que devra mener le prochain ou la prochaine premierre ministre si plusieurs noms sont sur la table Macron continue de chercher le nom de son nouveau Premier ministre

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